DJI Phantom 4 Pro et Pro+, le test

Vision System et Infrared Sensing System

Comme sur le Phantom 4, on trouve deux caméras à l’avant, une sur chaque pied du train d’atterrissage. Elles sont utilisées pour détecter la présence d’obstacles devant l’appareil. Le Phantom 4 Pro ajoute deux capteurs similaires sur l’arrière du train d’atterrissage. C’est ce qui lui permet de détecter des obstacles, désormais, même en reculant ! On trouve deux autres caméras sous l’appareil, qui détectent aussi les obstacles mais servent en plus à maintenir l’appareil à une position fixe. Le contrôleur de vol analyse en temps réel les images de la caméra : si elles sont différentes, c’est que le Phantom se déplace, et qu’il faut agir sur les moteurs pour le maintenir en position. Ce système permet de faire en sorte que le Phantom 4 Pro ne bouge pas d’un poil en intérieur, même s’il y a des courants d’air et en l’absence de GPS. Elle fonctionne jusqu’à environ 10 mètres de hauteur. Un sonar complète le Vision System : également situé sous l’appareil, il mesure en temps réel la hauteur par rapport au sol. Le Phantom 4 Pro dispose aussi du Infrared Sensing System : sur les flancs de la coque, de chaque côté de l’engin, se trouvent des capteurs infrarouges. Eux servent à détecter la présence d’obstacles sur les côtés.

La promesse ?

Avec des capteurs vers l’avant, l’arrière, les côtés et le bas, le Phantom 4 Pro est en théorie capable de détecter des obstacles et éviter de les toucher dans toutes les directions sauf vers le haut. Pourquoi pas de capteur vers le haut ? Il faut sans doute en laisser un peu pour les prochains Phantom… Le contrôleur de vol de l’appareil s’occupe d’agréger toutes les données qui lui parviennent pour influencer le vol. Si vous faites avancer l’appareil vers un obstacle, ou si vous le faites reculer, ou même si vous le faites approcher de côté, il doit indiquer la présence de l’obstacle et stopper la progression automatiquement, même si vous vous entêtez à vouloir continuer. Voilà la promesse faite par DJI.

La nacelle stabilisée

La caméra du Phantom 4 Pro est montée sur une nacelle 3 axes qui compense les mouvements dans toutes les directions. Ou presque. C’est le cas sur l’inclinaison (pitch), sur le roulis (roll). Sur la rotation (yaw), la caméra atténue les mouvements, mais ne les compense pas entièrement. Ca signifie quoi ? Que si vous inclinez le Phantom vers le bas, la caméra reste toujours à l’horizontale. Si vous le faites pencher vers la droite, elle ne s’inclinera pas. En revanche si vous faites tourner l’appareil sur lui-même, la caméra pivote légèrement pour amortir le mouvement, mais ne reste pas figée dans la direction initiale. La nacelle est contrôlable sur l’inclinaison avec une molette sur la radiocommande. Elle ne l’est pas sur le roulis – mais il est possible de la régler si l’image n’est pas parfaitement horizontale. A vrai dire, elle peut aussi s’incliner sur le côté, pour suivre l’inclinaison de l’appareil : il s’agit du mode FPV, à choisir dans les réglages. Mais il s’agit d’une simulation de l’inclinaison, indexée sur le joystick et non pas sur l’inclinaison réelle. Pour faire un 360°, ce n’est pas la nacelle qu’il faut solliciter : il faut faire tourner le Phantom 4 Pro sur lui-même. A la différence, par exemple, de la nacelle d’un Inspire, capable d’effectuer un tour presque complet sur elle-même.

Les caractéristiques de la caméra

La caméra utilisée sur le Phantom 4 Pro constitue un bond en avant dans le développement des prises de vues de qualité sur des multirotors. A la différence des caméras classiques de modèles concurrents, elle n’est pas de type sportive, comme les GoPro, mais elle repose sur un obturateur mécanique, qui ouvre entre 8 et 1/2000e de seconde. Ce que ça change ? A vrai dire, sans doute peu de choses à moins de réaliser des images en vol de travers à grande vitesse. Cela supprime l’effet « déformation des hélices » lorsqu’elles entrent dans le champ de l’image. Cela aide à éviter les barres sombres que l’on observe souvent avec une lumière artificielle pendant les vols en intérieur. Le capteur 1 pouce (13,2 mm x 8,8 mm) de la caméra permet de passer un cap dans la qualité des prises de vues. C’est ce modèle qui équipe le Sony RX100. La plage ISO accessible est de 100 à 6400 en vidéo, 100 à 12800 en photo. Plus intéressant, son optique permet de changer l’ouverture, de f/2.8 (la plus grande) à f/11 (la plus petite). Ca sert à quoi ? A pouvoir obtenir une grande profondeur de champ avec une petite ouverture pour les paysages, ou une petite profondeur de champ avec une grande ouverture pour des sujets plus proches.

Suite des caractéristiques

La liste des modes photos et vidéo est longue. Plutôt que de tous les citer, mieux vaut ne retenir que les principaux. En mode de compression h.264, les vidéos peuvent être filmées en 4K Ciné, c’est-à-dire le 4096 x 2160 pixels, en 60 images par seconde. Ce nombre d’images par seconde est important, c’est lui qui permet de faire en sorte que les vidéos soient fluides. Car jusqu’à présent, filmer avec un multirotor grand public en 4K, c’était se contenter de 30 images par seconde. Or réaliser un panoramique à 360° ou un vol rapide dans ces conditions, c’est l’assurance de saccades disgracieuses dans les vidéos. Sur le Phantom 4 Pro, tous les modes vidéo sont disponibles en 60 images par seconde ! On peut même grimper à 120 images par seconde en Full HD (1920 x 1080 pixels). Il est toujours question de combattre les saccades, mais c’est surtout pour obtenir des ralentis fluides.

Question de compression

En mode h.265, qui permet une compression plus efficace, les modes vidéo 4K Ciné, 4K TV (3840 x 2160 pixels), 2.7K (2720 x 1530 pixels), le nombre d’images par seconde ne dépasse pas 30. En revanche, on obtient bien 60 ou 120 images par seconde en Full HD. h.264 vs h.265, que faut-il en retenir ? Le h.265 permet, à débit égal et poids des fichiers à peu près similaire, une compression plus efficace et beaucoup moins visible, ainsi qu’une réduction des vibrations parasites, notamment l’effet Jello. En pratique, on perçoit moins de « pâtés de pixels » disgracieux qui introduisent un flou désagréable et des formes géométriques parasites. Les débits sont élevés, que ce soit en AVC (h.264) ou en HEVC (h.265). Cela signifie que vous devez utiliser une carte mémoire capable de tenir le rythme ! DJI en fournit une de 16 Go, de marque Sony. Il faut au moins des SDXC de classe UHS 1, sachant que le Phantom 4 Pro risque de se plaindre d’une vitesse insuffisante si la carte n’est pas UHS 3. Que se passe-t-il en cas de vitesse insuffisante ? L’enregistrement risque d’être interrompu avec un message d’erreur. Il est probable aussi que l’icône de prise de vue devienne grisée, vous empêchant de l’utiliser – dans ce cas le bouton physique sur la radiocommande permet parfois de forcer le démarrage ou l’arrêt d’une vidéo.

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47 commentaires sur “DJI Phantom 4 Pro et Pro+, le test

  1. Pour répondre à ta question, je pense que si il n’y a pas de capteur d’obstacle vers le haut, c’est que techniquement c’est impossible à cause des helices qui sont un obstacle !
    En tout cas, super article, mais pour l’instant je garde mon P3 Advanced qui fait bien le boulot !

  2. Article complet comme d’habitude , petit bémol quant à la DDS . Il faut la faire dès que l’on quitte la zone du précédent vol d’une cinquantaine de kilomètres . C’est la calibration de l’imu maintenant qui doit être faite uniquement lorsque DJO Go le demande . ( Et non chaque nouveau firmware etc .. comme auparavant )

  3. Test très complet.

    Juste qq petites remarques, que ce soit en h264 ou h265, le débit reste le même (100Mbps en 4K par exemple) donc pas forcement besoin d’une carte SD plus rapide. C’est juste qu’a débit égal, la qualité sera meilleur sur le h265. Après, avoir la machine qui suit pour le montage, c’est une autre histoire :(.

    Perso, dans les gros – pour le moment, il y a cette histoire d’horizon qui drift des qu’on va sur le coté et des problèmes de sautes d’images en 4k60fps. De quoi foutre en l’air pas mal de plans 🙁 en attendant enfin un firmware pour avoir un gimbal stable.

    Sinon pour la photo, tip top 🙂

  4. Bonjour,
    sur mon P4pro reçu il y a moins de 2 semaines la Rc n’est pas équipée d’une prise hdmi, lecteur micro sd , je crois que cette configuration est réservé au P4pro+

  5. De très loin, le meilleur test du web pour cette caméra volante! En effet, plutôt qu’une description/vérification de la fiche technique, il répond à toutes les questions d’utilisateurs cible de ce genre d’appareil!
    Pour la partie photo/vidéo, je pense que vous devriez vous rapprocher de passionnés ou d’autres sites référence : vous pourriez établir un protocole de test simple et rapide : colorimétrie (selon mire, sous lumière 3000°K, 4500°K et 5500°K), gestion des contrastes et de la luminosité (sur image animée, c’est réalisable en 30 secondes), validation des IL gérables. Ainsi, on aurait une base comparable pour voir comment les matériels réagissent lors d’un passage de l’ombre à la lumière, en contre jour (matin, journée, soir) leurs performances en basse lumière, etc. Mais je chipote…
    Vraiment bravo et merci beaucoup!

  6. très complet ce test, merci Fred. 😉
    c’est presque trop facile de faire des images avec ce genre de machine, c’est le but, libérer le pilote
    de certaines contraintes pour lui permettre de se focaliser sur l’image.

    mon Q500 est devenus un dinosaure obsolète .lol!
    mais je le garde quand même!!

  7. Merci Fred, tu as dû y passer du temps sur ce test. Tous les détails que tu donnes vont sûrement aider les passionnés de prises de vue à se décider. Je crois que je vais d’autant plus apprécier le test du Mavic Pro, que je me payerai le jour où son prix aura baissé un peu.

  8. Bonjour, déjà merci pour ce super test, vous n’avez pas précisé le retour vidéo live. Il s’agit pour vous de 720p comme le phantom 4 ou bien un 1080 ? merci.

  9. @ yannick : Je suis tout à fait d’accord concernant le débit. Mais j’ai constaté que l’enregistrement ne fonctionnait pas correctement en h.265 avec des cartes lentes (en fait la plupart des SanDisk dont je dispose). Je n’ai pas d’explication. Est-ce que ça pourrait être parce que le processeur est plus chargé et n’a pas de temps à consacrer à attendre que les E/S de la micrOSD répondent ?

  10. @ Sebastien : Sur l’écran du P4Pro+, je ne peux pas trop dire, puisqu’il est de définition supérieure, et que je ne suis pas certain que je verrais la différence entre du 720p et du 1080p avec cette taille. La sortie en HDMI donne du 720p, du moins c’est ce que disent mon téléviseur et un moniteur…

  11. Merci fred pour ce boulot,
    Comptes tu aussi faire un test aussi poussé du mavic bientot ?

  12. @ Fred : Merci pour la réponse je vais donc me tourner vers le Mavic qui lui est en 1080 une vraie évolution je viens d’un p3 surtout en fpv avec un casque virtuelle et flylitchi 😉

  13. Quel test, super travail.
    Vraiment dommage que la fonction « terrain follow » ne fonctionne pas en descente, car très pratique pour beaucoup de séquences.
    D’ailleurs, ces fonctions se cumulent elles? Par exemple « active Track » en même temps que « terrain follow »?

  14. Pour le débit et la carte c’est sûrement une histoire de cache et d’aller retour entre le processeur et la carte mémoire qui s’effectue de façon différente entre le H.265 rapport au H.264 avec des « surcharge » de données en H.265 vs linéaire pour le 264

    Après concernant le protocole de test photo/video vue c’est vraiment pas évidement. Comment comparer un P4 et un Mavic a ouverture fixe Vs le P4P a ouverture réglable ? Faut-il « rabaisser » le P4P a la faible ouverture de ces derniers ? Le P3P a une focale (equiv 24*35) de 20mm, le Mavic 28mm et le P4P de 24mm. Comment gérer cela ? Rapprocher le drone de la mire (les P3, P4, X3 ont un AF réglé sur l’infini) ?
    En plus avec tous les firmwares cela rend l’exercice délicat. Par exemple le P4P avait un mode Log pourri mais DJI a rectifié le tir via le nouveau firmware.
    Rien n’est impossible, je pense que Fred y viendra mais pour l’instant ça reste le test le plus complet que j’ai vu, presse anglophone incluse.

  15. J’ai encore relu le test et reregardé les videos, et je répète encore mes félictations pour un test « terrain »si poussé!!
    Justement Olivier, pour les non photographes, un test sur modèle ou mire serait un gros plus : avoir une notion du champ cadré à 150m (à l’instar des champs à 1000m pour les jumelles) peut donner une bonne idée du potentiel de l’appareil. Sur mes machines, j’ai des équivalents 35 et 50mm pour des détails d’architecture et des équivalent 24mm pour les vues d’ensemble. En tant que photographe, je sais bien que cela n’a rien à voir comme résultat, mais un néophyte n’a pas forcément les mêmes habitudes/visions.
    Les écarts matériels peuvent justement être mis en avant avec ces protocoles : je n’ai eu aucun des deux en main, mais entre un mavic à ouverture fixe et un P4P à ouverture variable, en cas de variations de luminosité, on a de fortes chances d’obtenir de meilleures vidéos avec le P4P qui utilisera son diaphragme mais pas seulement sa vitesse d’obturation ou l’ajustement artificiel de la sensibilité du capteur.
    Pour les tests photo et vidéo, il est parfaitement envisageable de « simuler l’infini ». A partir du moment où on a la focale et la taille du capteur, tout est question de calcul et d’un minimum d’accessoires. Pas besoin non plus de faire un DXO Mark (encore que…), mais au moins une détection des faiblesses, notamment la distorsion en barillet/tonneau qui peut être vraiment archi gênante en prise de vue sur architecture. Mais cela reste de la théorie.
    Bref, entre les promesses de la fiche technique et ce dont le matériel est capable, qu’on soit juste « pilote » ou photographe exigeant, rien ne vaut le jugement sur pièces… Et face à des remontées fiables et de bon niveau, il peut arriver que les constructeurs écoutent et améliorent leur matériel.
    ==>Vous pourriez par exemple prendre contact avec la rédaction de Chasseurs d’Images.

  16. @ jean christophe : J’ai pris mes précautions, c’est une route interdite à la circulation sauf pour les riverains. Le passage dans lequel je suis positionné est privé… et je me suis arrêté à la barrière (fermée).

  17. Ca c’est du test ! :-0
    Petite question : as-tu testé les batterie du Phantom 4 sur le 4 Pro et vice-versa ?
    Merci d’avance,

  18. @ ctrl_alt_suppr : Pas avec ce Phantom 4 Pro+, je n’en ai pas sous la main.
    J’avais eu il y a quelques semaines, pendant quelques jours, un modèle de présérie qui était équipé d’une batterie de Phantom 4. Mais je ne peux pas en tirer de conclusion : les conditions de test (température) n’étaient pas du tout les mêmes. Fort logiquement, la batterie du P4 offre une capacité légèrement inférieure, il faut s’attendre à ce que l’autonomie suive en conséquence. Je suppose que la batterie du P4P+ fonctionne sur le P4, mais comme je n’ai pas essayé, je ne m’avance pas trop.

  19. Hello Fred,

    Beau test.
    IMHO, sur la page 3, point de détail, mais tu mélanges 2 choses :
    « Faut-il toujours réaliser le calibrage de l’IMU avant de décoller ? La fameuse « danse des sioux » comme elle a été appelée sur le DJI Forum francophone. Oui, mais uniquement lorsque vous vous déplacez géographiquement entre deux vols. »

    Cela devrait être :

    Calibrage de l’IMU -> à chaque fois que tu upgrades le firmware
    Calibrage du compas -> « danse des sioux » lorsque vous vous déplacez géographiquement entre deux vols (ou en gros à chaque session de vol, c’est plus sur)

    Les 2 procédures n’ont normalement rien à voir…

  20. les batteries DJI Phantom 4 sont compatibles avec l’ensemble des versions Phantom 4, Phantom 4 Pro et Phantom 4 Pro+

  21. @ Gilbert : En voulant corriger, j’ai mélangé des bouts de phrases. J’ai reformulé tout ça !
    Mais note que le manuel du P4P ne parle plus du tout de déplacement géopgraphique pour le calibrage du compass / boussole :  » Calibrating the Compass – Only calibrate the compass when the DJI GO 4 app or the status indicator prompt you to do so. Observe the following rules when calibrating your compass « .

  22. merci pour toutes ces explications qui sont en train de me faire basculer du modélisme planeur/avion au drone qui a l’air bien plus reposant, c’est toutefois ce que je crois, mais à voir les crashs dans différentes vidéos, il n’en est rien, alors je réfléchis encore un peu car vu le prix des conséquences ça me fait peur !!!
    Bravo encore pour ce compte rendu.

  23. Si on fait voler son drone à partir d’un bateau, est-ce que la fonction de retour automatique par GPS fonctionne ?

  24. @ Daymard Philippe : Ok, pigé (je n’ai pas Lightroom ni DXO).
    DXO t’ont répondu que le RAW du P4P était pris en charge, ou qu’il allait l’être ?

  25. J’ai eu un message automatique, il sera pris en charge en fonction des demandes. Perso je pense que c’est un peu râpé, dxo 12 va sortir sous peu mais sait on jamais. Par contre il est possible que je demande des conseils, j’ai aucune expérience de drone

  26. @ Daymard Philippe : Ok ! Effectivement, si une nouvelle version arrive dans peu de temps, c’est compromis. Mais comme ils sont français avec une réputation de bonne réactivité, peut-être que ça vaut le coup de les ennuyer avec le support des appareils de DJI. La demande devrait mathématiquement augmenter, de paire avec la base installée 🙂

  27. Premier essai ce jour, sympa mais ma télécommande bipe sans arrêt, je ne sais pas d’où ça vient. J’ai bien chargé la batterie….pour info j’y est branché un s6 sansung

  28. @Daymard Philippe : Il est possible que les joysticks qui ne sont pas centrés. Dans ce cas, il faut tenter un calibrage des joysticks dans le menu. Si ça ne corrige pas le souci, il y a des chances pour que ce soit un problème hardware, auquel cas c’est retour en SAV 🙁

  29. Bonjour à tous, encore moi 🙂

    Cette fois ci je n’arrive pas à sortir du mode beginner…j’aurais le menu en français peut être que ça le ferait mieux. Merci,

  30. nouveau sur le site !! je constate des explications parfaites , et moi j’ai une demande d’info j’ai un ph 4 pro et a 3 reprises un grand moment de panique a environ 200 m je n’arrive pas a savoir si l’oiseau !! s’éloigne encore ou s’il revient au bercail donc RTH super mais existe t’il une autre solution ?? j’accepte toutes idées sérieuse merci

  31. @ Coissac : Tu peux jeter un oeil à la mini carte dans DJI GO 4 qui montre une flèche rouge matérialisant ton appareil, avec son cap. Tu peux demander l’orientation automatique de cette carte avec l’icône en haut à gauche de la mini carte. L’icône en haut à droite permet d’avoir un radar, encore plus efficace pour connaitre l’orientation de la machine… Ca te permet de gérer l’orientation du P4 pour faciliter le retour dans ta direction.

  32. bonjour fred , merci pour ce test très complet. je vie sur un voilier en nouvelle Calédonie et je voulais savoir si on peut le faire décoller et atterrir facilement du fait qu’il y ai tous les câbles et les 2 mats , et que le retour au point de départ en navigation puisse être déconnecté ?et que je puisse le rattraper par les pieds du drone si le bateau bouge ?
    Tu dis que p4p+ est moins bien avec son écran intégré que p4p , mais en mer il y à beaucoup de luminosité et je pense pouvoir être gêné avec un ecran de smart phone , quand penses tu ? merci d’avance .

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