DJI Phantom 4 Pro et Pro+, le test

La radiocommande

Comme sur les précédents modèles de Phantom, elle arbore une belle robe blanche immaculée. Mais elle est moins spartiate que celle des premiers Phantom. Outre les deux joysticks, on trouve en façade un bouton d’allumage, et un bouton destiné à déclencher le retour automatique au point de départ. Sur le côté, une trappe en caoutchouc cache une prise destinée à la recharge de la batterie. Deux boutons sont situés sous la radio, notés C1 et C2. Vous pouvez les associer à des commandes parmi une liste assez fournie. Comme par exemple faire pivoter la caméra de 90°, faire appel à l’écran des réglages de la caméra, etc. Toujours sous la radio, on trouve un connecteur USB, un connecteur HDMI pour diffuser la vidéo vers un périphérique compatible (sur le Phantom 4 Pro+ uniquement), un trappe pour une carte microSD (sur le Phantom 4 Pro+ uniquement) et un connecteur miniUSB. On ne retiendra que le connecteur HDMI, pour envoyer l’image reçue en temps réel vers un dispositif de diffusion ou d’enregistrement, et le connecteur miniUSB pour réaliser des mises à jour.

La radiocommande, suite

C’est sur le haut de la radiocommande que l’on trouve le plus d’outils ! Un interrupteur permet de choisir entre le mode P (assisté par GPS), le mode S (Sport) et le mode A (Atti, sans GPS). Une molette permet de contrôler l’inclinaison (tilt) de la caméra, l’autre pilote les réglages de la caméra. Elle peut être enfoncée, ce qui permet de passer d’un réglage à un autre. Une méthode pratique, mais aussi parfaite pour… tout dérégler sans même s’en apercevoir. Un bouton est dédié à l’enregistrement de vidéo, un autre à la prise de vues, avec une position à mi-course pour régler le focus. Un dernier bouton permet de faire une « pause » dans les vols. Il peut passer inaperçu, mais il s’avére salutaire lorsque tout va mal ! Si vous constatez, pendant un vol automatisé, que le Phantom 4 Pro n’en fait qu’à sa tête, appuyez sur cette touche. Il interrompt son action et attend vos ordres : soit reprendre sa mission, soit vous laisser piloter.

La radiocommande, fin

Dans la radiocommande se trouve une batterie Lipo 2S de 6000 mAh, non extractible. Le « + » du Phantom 4 Pro+, c’est l’écran solidaire de la radiocommande. Il s’apparente à un smartphone, en dimensions et en épaisseur, avec un écran de 13,7 cm de diagonale, soit 5,4 pouces. Et quel écran ! Sa luminosité est impressionnante, même quand il est utilisé en plein soleil. Glisser un doigt du haut de l’écran vers le bas fait apparaître une fenêtre de réglages. Elle permet de pousser encore plus loin le rétro éclairage, qui par défaut s’adapte à la luminosité ambiante. Un mode appelé « SRE » permet de pousser artificiellement les couleurs claires, pour encore plus de luminosité. L’écran est monté sur un bras pliant, non amovible, avec un mécanisme qui permet de replier l’écran vers la radio pour le transport, en le protégeant. Pas de GPS intégré, en revanche, ni dans la radiocommande ni dans l’écran (ceci reste à confirmer). Le bloc radiocommande comprend un GPS (mais je n’ai pas réussi à savoir s’il se trouve dans la radio ou dans l’écran du Phantom 4 Pro+). Les réglages permettent de l’utiliser en mode 1, mode 2 (gaz à gauche), mode 3 ou de choisir les fonctions des joysticks. Avec l’écran réglé sur une forte luminosité, l’autonomie est de 4h40 environ. Il faut 3h40 pour recharger entièrement cette batterie. 

Allumage… et mises à jour !

Avant de partir voler, quelques réglages chez vous sont nécessaires. N’installez pas encore les hélices, retirez la protection plastique de la caméra, et n’oubliez pas celle en mousse, juste derrière. Allumez la radiocommande. Il faut 22 secondes seulement pour que l’écran soit opérationnel su le Phantom 4 Pro+, sans besoin de câbles ni de liaison sans fil. C’est le logiciel DJI GO 4 qui est installé sur l’écran, en fait une tablette petit format sous Android. 5.1.1. Le détail pénible ? DJI GO 4 pour Android n’est toujours pas disponible en français. Ce sera donc en anglais. Ou en chinois si vous maîtrisez la langue, traditionnel ou simplifié, ou en japonais ! Faites apparaître l’écran de Android en faisant glisser le doigt du haut vers le bas de l’écran, touchez l’icône en haut à droite, et configurez l’accès à un point wifi. Revenez à l’écran principal. Il est probable que vous soyez accueilli par un message de mise à jour. Il est préférable de le faire. Il faudra vous armer du câble et de sa rallonge, fournis avec le Phantom 4 Pro+, pour connecter le multirotor à la radiocommande. Sur le Phantom 4 Pro, la liaison avec le smartphone est filaire, elle permet d’utiliser un appareil Android (en anglais, donc) ou iOS (en français !).

Avant le premier décollage

Changez de décor, faites votre premier vol dans un environnement dégagé. Evitez un jardin, pour une raison toute simple : les capteurs d’obstacles risquent de vous empêcher de faire quoi que ce soit. Vous pouvez les désactiver… mais ce n’est pas forcément une bonne idée pour un premier vol. L’acquisition de la position GPS est assez rapide. Attendez que le logiciel vous indique que le Point Home a été fixé. C’est important si vous devez faire appel au retour automatique (RTH). Faut-il toujours réaliser le calibrage de l’IMU avant de décoller ? Non, uniquement lorsque DJI GO 4 vous le demande ? Et le calibrage de la boussole électronique, la fameuse « danse des sioux » comme elle a été appelée sur le DJI Forum francophone ? Il était conseillé de le faire lorsque vous vous déplacez géographiquement entre deux vols. Mais le manuel du Phantom 4 Pro préciser que le calibrage de la boussole électronique n’est à effectuer que lorsque le logiciel DJI GO 4 vous invite à le faire, ou lorsque les LED du Phantom 4 clignotent en rouge et jaune. Ce calibrage est important, il est nécessaire, entre autres fonctions, pour le retour automatisé au point de départ.

Pour décoller ?

Vous disposez toujours de la méthode qui fonctionne sur tous les Phantom y compris le modèle 1 : croisez les joysticks vers le bas et l’intérieur, puis poussez les gaz. Ou celle, plus paresseuse, qui consiste à appuyer sur une icône à l’écran et faire glisser un curseur. Dans ce cas, l’appareil décolle et se place en stationnaire à 1 mètre du sol, en attendant vos ordres. La stabilité est redoutable, même lorsqu’il y a du vent. L’électronique de bord se débrouille pour maintenir l’appareil là où il se trouve, en corrigeant automatiquement toute dérive. Pour se poser, il suffit de descendre. Le Phantom 4 Pro ralentit sa vitesse en s’approchant du sol, puis se pose comme une fleur. Conservez le joystick de profondeur baissé jusqu’à ce que les moteurs s’arrêtent. Vous pouvez accélérer le coupure en croisant les joysticks, comme pour allumer les moteurs. Sachez qu’à tout moment vous pouvez couper les moteurs, en procédure d’urgence. Il suffit de placer le joystick de gauche en bas à droite et d’appuyer simultanément sur le bouton de RTH. Une manipulation qu’il est possible de désactiver.

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47 commentaires sur “DJI Phantom 4 Pro et Pro+, le test

  1. Pour répondre à ta question, je pense que si il n’y a pas de capteur d’obstacle vers le haut, c’est que techniquement c’est impossible à cause des helices qui sont un obstacle !
    En tout cas, super article, mais pour l’instant je garde mon P3 Advanced qui fait bien le boulot !

  2. Article complet comme d’habitude , petit bémol quant à la DDS . Il faut la faire dès que l’on quitte la zone du précédent vol d’une cinquantaine de kilomètres . C’est la calibration de l’imu maintenant qui doit être faite uniquement lorsque DJO Go le demande . ( Et non chaque nouveau firmware etc .. comme auparavant )

  3. Test très complet.

    Juste qq petites remarques, que ce soit en h264 ou h265, le débit reste le même (100Mbps en 4K par exemple) donc pas forcement besoin d’une carte SD plus rapide. C’est juste qu’a débit égal, la qualité sera meilleur sur le h265. Après, avoir la machine qui suit pour le montage, c’est une autre histoire :(.

    Perso, dans les gros – pour le moment, il y a cette histoire d’horizon qui drift des qu’on va sur le coté et des problèmes de sautes d’images en 4k60fps. De quoi foutre en l’air pas mal de plans 🙁 en attendant enfin un firmware pour avoir un gimbal stable.

    Sinon pour la photo, tip top 🙂

  4. Bonjour,
    sur mon P4pro reçu il y a moins de 2 semaines la Rc n’est pas équipée d’une prise hdmi, lecteur micro sd , je crois que cette configuration est réservé au P4pro+

  5. De très loin, le meilleur test du web pour cette caméra volante! En effet, plutôt qu’une description/vérification de la fiche technique, il répond à toutes les questions d’utilisateurs cible de ce genre d’appareil!
    Pour la partie photo/vidéo, je pense que vous devriez vous rapprocher de passionnés ou d’autres sites référence : vous pourriez établir un protocole de test simple et rapide : colorimétrie (selon mire, sous lumière 3000°K, 4500°K et 5500°K), gestion des contrastes et de la luminosité (sur image animée, c’est réalisable en 30 secondes), validation des IL gérables. Ainsi, on aurait une base comparable pour voir comment les matériels réagissent lors d’un passage de l’ombre à la lumière, en contre jour (matin, journée, soir) leurs performances en basse lumière, etc. Mais je chipote…
    Vraiment bravo et merci beaucoup!

  6. très complet ce test, merci Fred. 😉
    c’est presque trop facile de faire des images avec ce genre de machine, c’est le but, libérer le pilote
    de certaines contraintes pour lui permettre de se focaliser sur l’image.

    mon Q500 est devenus un dinosaure obsolète .lol!
    mais je le garde quand même!!

  7. Merci Fred, tu as dû y passer du temps sur ce test. Tous les détails que tu donnes vont sûrement aider les passionnés de prises de vue à se décider. Je crois que je vais d’autant plus apprécier le test du Mavic Pro, que je me payerai le jour où son prix aura baissé un peu.

  8. Bonjour, déjà merci pour ce super test, vous n’avez pas précisé le retour vidéo live. Il s’agit pour vous de 720p comme le phantom 4 ou bien un 1080 ? merci.

  9. @ yannick : Je suis tout à fait d’accord concernant le débit. Mais j’ai constaté que l’enregistrement ne fonctionnait pas correctement en h.265 avec des cartes lentes (en fait la plupart des SanDisk dont je dispose). Je n’ai pas d’explication. Est-ce que ça pourrait être parce que le processeur est plus chargé et n’a pas de temps à consacrer à attendre que les E/S de la micrOSD répondent ?

  10. @ Sebastien : Sur l’écran du P4Pro+, je ne peux pas trop dire, puisqu’il est de définition supérieure, et que je ne suis pas certain que je verrais la différence entre du 720p et du 1080p avec cette taille. La sortie en HDMI donne du 720p, du moins c’est ce que disent mon téléviseur et un moniteur…

  11. Merci fred pour ce boulot,
    Comptes tu aussi faire un test aussi poussé du mavic bientot ?

  12. @ Fred : Merci pour la réponse je vais donc me tourner vers le Mavic qui lui est en 1080 une vraie évolution je viens d’un p3 surtout en fpv avec un casque virtuelle et flylitchi 😉

  13. Quel test, super travail.
    Vraiment dommage que la fonction « terrain follow » ne fonctionne pas en descente, car très pratique pour beaucoup de séquences.
    D’ailleurs, ces fonctions se cumulent elles? Par exemple « active Track » en même temps que « terrain follow »?

  14. Pour le débit et la carte c’est sûrement une histoire de cache et d’aller retour entre le processeur et la carte mémoire qui s’effectue de façon différente entre le H.265 rapport au H.264 avec des « surcharge » de données en H.265 vs linéaire pour le 264

    Après concernant le protocole de test photo/video vue c’est vraiment pas évidement. Comment comparer un P4 et un Mavic a ouverture fixe Vs le P4P a ouverture réglable ? Faut-il « rabaisser » le P4P a la faible ouverture de ces derniers ? Le P3P a une focale (equiv 24*35) de 20mm, le Mavic 28mm et le P4P de 24mm. Comment gérer cela ? Rapprocher le drone de la mire (les P3, P4, X3 ont un AF réglé sur l’infini) ?
    En plus avec tous les firmwares cela rend l’exercice délicat. Par exemple le P4P avait un mode Log pourri mais DJI a rectifié le tir via le nouveau firmware.
    Rien n’est impossible, je pense que Fred y viendra mais pour l’instant ça reste le test le plus complet que j’ai vu, presse anglophone incluse.

  15. J’ai encore relu le test et reregardé les videos, et je répète encore mes félictations pour un test « terrain »si poussé!!
    Justement Olivier, pour les non photographes, un test sur modèle ou mire serait un gros plus : avoir une notion du champ cadré à 150m (à l’instar des champs à 1000m pour les jumelles) peut donner une bonne idée du potentiel de l’appareil. Sur mes machines, j’ai des équivalents 35 et 50mm pour des détails d’architecture et des équivalent 24mm pour les vues d’ensemble. En tant que photographe, je sais bien que cela n’a rien à voir comme résultat, mais un néophyte n’a pas forcément les mêmes habitudes/visions.
    Les écarts matériels peuvent justement être mis en avant avec ces protocoles : je n’ai eu aucun des deux en main, mais entre un mavic à ouverture fixe et un P4P à ouverture variable, en cas de variations de luminosité, on a de fortes chances d’obtenir de meilleures vidéos avec le P4P qui utilisera son diaphragme mais pas seulement sa vitesse d’obturation ou l’ajustement artificiel de la sensibilité du capteur.
    Pour les tests photo et vidéo, il est parfaitement envisageable de « simuler l’infini ». A partir du moment où on a la focale et la taille du capteur, tout est question de calcul et d’un minimum d’accessoires. Pas besoin non plus de faire un DXO Mark (encore que…), mais au moins une détection des faiblesses, notamment la distorsion en barillet/tonneau qui peut être vraiment archi gênante en prise de vue sur architecture. Mais cela reste de la théorie.
    Bref, entre les promesses de la fiche technique et ce dont le matériel est capable, qu’on soit juste « pilote » ou photographe exigeant, rien ne vaut le jugement sur pièces… Et face à des remontées fiables et de bon niveau, il peut arriver que les constructeurs écoutent et améliorent leur matériel.
    ==>Vous pourriez par exemple prendre contact avec la rédaction de Chasseurs d’Images.

  16. @ jean christophe : J’ai pris mes précautions, c’est une route interdite à la circulation sauf pour les riverains. Le passage dans lequel je suis positionné est privé… et je me suis arrêté à la barrière (fermée).

  17. Ca c’est du test ! :-0
    Petite question : as-tu testé les batterie du Phantom 4 sur le 4 Pro et vice-versa ?
    Merci d’avance,

  18. @ ctrl_alt_suppr : Pas avec ce Phantom 4 Pro+, je n’en ai pas sous la main.
    J’avais eu il y a quelques semaines, pendant quelques jours, un modèle de présérie qui était équipé d’une batterie de Phantom 4. Mais je ne peux pas en tirer de conclusion : les conditions de test (température) n’étaient pas du tout les mêmes. Fort logiquement, la batterie du P4 offre une capacité légèrement inférieure, il faut s’attendre à ce que l’autonomie suive en conséquence. Je suppose que la batterie du P4P+ fonctionne sur le P4, mais comme je n’ai pas essayé, je ne m’avance pas trop.

  19. Hello Fred,

    Beau test.
    IMHO, sur la page 3, point de détail, mais tu mélanges 2 choses :
    « Faut-il toujours réaliser le calibrage de l’IMU avant de décoller ? La fameuse « danse des sioux » comme elle a été appelée sur le DJI Forum francophone. Oui, mais uniquement lorsque vous vous déplacez géographiquement entre deux vols. »

    Cela devrait être :

    Calibrage de l’IMU -> à chaque fois que tu upgrades le firmware
    Calibrage du compas -> « danse des sioux » lorsque vous vous déplacez géographiquement entre deux vols (ou en gros à chaque session de vol, c’est plus sur)

    Les 2 procédures n’ont normalement rien à voir…

  20. les batteries DJI Phantom 4 sont compatibles avec l’ensemble des versions Phantom 4, Phantom 4 Pro et Phantom 4 Pro+

  21. @ Gilbert : En voulant corriger, j’ai mélangé des bouts de phrases. J’ai reformulé tout ça !
    Mais note que le manuel du P4P ne parle plus du tout de déplacement géopgraphique pour le calibrage du compass / boussole :  » Calibrating the Compass – Only calibrate the compass when the DJI GO 4 app or the status indicator prompt you to do so. Observe the following rules when calibrating your compass « .

  22. merci pour toutes ces explications qui sont en train de me faire basculer du modélisme planeur/avion au drone qui a l’air bien plus reposant, c’est toutefois ce que je crois, mais à voir les crashs dans différentes vidéos, il n’en est rien, alors je réfléchis encore un peu car vu le prix des conséquences ça me fait peur !!!
    Bravo encore pour ce compte rendu.

  23. Si on fait voler son drone à partir d’un bateau, est-ce que la fonction de retour automatique par GPS fonctionne ?

  24. @ Daymard Philippe : Ok, pigé (je n’ai pas Lightroom ni DXO).
    DXO t’ont répondu que le RAW du P4P était pris en charge, ou qu’il allait l’être ?

  25. J’ai eu un message automatique, il sera pris en charge en fonction des demandes. Perso je pense que c’est un peu râpé, dxo 12 va sortir sous peu mais sait on jamais. Par contre il est possible que je demande des conseils, j’ai aucune expérience de drone

  26. @ Daymard Philippe : Ok ! Effectivement, si une nouvelle version arrive dans peu de temps, c’est compromis. Mais comme ils sont français avec une réputation de bonne réactivité, peut-être que ça vaut le coup de les ennuyer avec le support des appareils de DJI. La demande devrait mathématiquement augmenter, de paire avec la base installée 🙂

  27. Premier essai ce jour, sympa mais ma télécommande bipe sans arrêt, je ne sais pas d’où ça vient. J’ai bien chargé la batterie….pour info j’y est branché un s6 sansung

  28. @Daymard Philippe : Il est possible que les joysticks qui ne sont pas centrés. Dans ce cas, il faut tenter un calibrage des joysticks dans le menu. Si ça ne corrige pas le souci, il y a des chances pour que ce soit un problème hardware, auquel cas c’est retour en SAV 🙁

  29. Bonjour à tous, encore moi 🙂

    Cette fois ci je n’arrive pas à sortir du mode beginner…j’aurais le menu en français peut être que ça le ferait mieux. Merci,

  30. nouveau sur le site !! je constate des explications parfaites , et moi j’ai une demande d’info j’ai un ph 4 pro et a 3 reprises un grand moment de panique a environ 200 m je n’arrive pas a savoir si l’oiseau !! s’éloigne encore ou s’il revient au bercail donc RTH super mais existe t’il une autre solution ?? j’accepte toutes idées sérieuse merci

  31. @ Coissac : Tu peux jeter un oeil à la mini carte dans DJI GO 4 qui montre une flèche rouge matérialisant ton appareil, avec son cap. Tu peux demander l’orientation automatique de cette carte avec l’icône en haut à gauche de la mini carte. L’icône en haut à droite permet d’avoir un radar, encore plus efficace pour connaitre l’orientation de la machine… Ca te permet de gérer l’orientation du P4 pour faciliter le retour dans ta direction.

  32. bonjour fred , merci pour ce test très complet. je vie sur un voilier en nouvelle Calédonie et je voulais savoir si on peut le faire décoller et atterrir facilement du fait qu’il y ai tous les câbles et les 2 mats , et que le retour au point de départ en navigation puisse être déconnecté ?et que je puisse le rattraper par les pieds du drone si le bateau bouge ?
    Tu dis que p4p+ est moins bien avec son écran intégré que p4p , mais en mer il y à beaucoup de luminosité et je pense pouvoir être gêné avec un ecran de smart phone , quand penses tu ? merci d’avance .

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