DSAC : David Comby répond à Fréquence Drone au sujet des formations STS-01 et STS-02

David Comby est le nouveau directeur des programmes drones à la DGAC / DSAC, il succède à Nicolas Marcou depuis le 1er décembre 2023. A l’occasion d’un entretien, l’association Fréquence Drone représentée par Thierry Mohr a pu lui poser des questions sur les sujets du moment qui inquiètent tous les acteurs du monde des drones en France. Voici un extrait choisi du compte-rendu que Fréquence Drone propose à ses adhérents.

Petit rappel pour bien comprendre. Les scénarios européens en catégorie Spécifique sont opérationnels depuis le 1er janvier 2024. Mais l’examen théorique n’est pas encore proposé en France (il peut être passé dans d’autres pays de l’Union Européenne), et il n’existe pas encore de formateur habilité à valider la partie pratique. 

Quelles sont les solutions envisagées ?

Concernant les centres de formation, Fréquence Drone rapporte qu’il « est envisagé un régime dérogatoire pour les centres de formation désirant former des télépilotes aux scénarios de la catégorie Spécifique, même en l’absence de drone de classes C5/C6. Les formateurs devront posséder la qualification théorique STS (pouvant être passée dans tous les centres d’examens de l’UE) et prouver leur compétence théorique et pratique dans ces scénarios ». Le régime dérogatoire est en cours de rédaction et devrait être présenté d’ici quelques jours.

Le rapport d’entretien avec David Comby contient d’autres questions et réponses, notamment au sujet des évolutions de la SORA, du traitement des demandes de PDRA, en libre accès pour les adhérents de l’association Fréquence Drone. 

2 commentaires sur “DSAC : David Comby répond à Fréquence Drone au sujet des formations STS-01 et STS-02

  1. Bonjour,
    Dommage que l’entièreté de la parole publique du Directeur de programme drones ne soit pas relayée de façon « publique » et non pas réservée uniquement aux adhérents d’une Association d’une Web Radio… Pourquoi ne pas l’avoir diffusée sur Helicomicro ?
    Et pourquoi alors diffuser de nombreux podcasts (souvent pertinents) et non pas cette parole publique qui est très attendue par la profession ??? La visibilité de cette Web Radio en serait pourtant gagnante…
    Le fait de privatiser cette parole publique, surtout en cette période, me semble contre-productive…
    Et pour finir, n’est-ce pas d’ailleurs plus le rôle des Fédérations que de relayer ce type de parole ?

  2. @ PLUMELET Jacques : C’est le boulot d’une association, il n’y a rien de choquant à ce qu’elle en réserve l’intégralité à ses adhérents.

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