Les caractéristiques techniques ?
Le pilotage
Pas de NFZ
Il peut être utilisé jusqu’à une altitude de 6000 mètres, ce qui permet d’envisager des opérations en montagne. Il est dépourvu de zones interdites de vol (NFZ), c’est à l’utilisateur de respecter la réglementation. Cela permet surtout aux services d’urgence d’intervenir sans risquer d’être cloué au sol par une NFZ mal déverrouillée. Parrot se distingue ainsi de son concurrent DJI. Une option de limitation de hauteur et distance est disponible (geofencing), mais c’est l’utilisateur qui choisit de l’activer. La radiocommande est le Skycontroller 3 de Parrot, déjà utilisé avec les précédents modèles. Il permet une portée maximale théorique de 4 km, et s’occupe du retour vidéo HD en temps réel.
Spectre visible et non visible
Freeflight 6
C’est l’application Freeflight 6 qui prend en charge l’Anafi USA, dans une version mise à jour. Elle permet de tirer parti des nouvelles fonctions de cet appareil comme le zoom x32 et la caméra thermique. Le SDK de l’Anafi offre la possibilité aux développeurs de proposer des applications métiers. Plusieurs outils tierce-partie seront disponibles au lancement de l’appareil.
Le prix et la disponibilité ?
Pour compléter cette présentation, n’oubliez pas de lire l’interview de l’équipe de Parrot, ici !
Une vidéo promotionnelle
Le tableau des caractéristiques
Anafi USA |
|
|
|
Poids |
500 grammes |
|
Dimensions plié |
25,2 x 10,4 x 8,2 cm |
|
Dimensions déplié |
28,2 x 37,3 x 8,4 cm |
|
Vitesse horizontale max |
14,7 m/s 52,92 km/h |
|
Vitesse verticale max |
6 m/s 21,60 km/h |
|
Résistance à des vents de |
14,7 m/s 52,92 km/h |
|
Altitude plafond de vol |
6000 mètres |
|
Limitation de la hauteur et de la distance |
Au choix du pilote |
|
Nofly Zones |
Sans |
|
Température de fonctionnement |
-35°C à 43°C |
|
Seuil de température au décollage |
Sans |
|
Gestion des données |
Privée uniquement sur le drone ou partagée anonymement sur des serveurs européens |
Capteurs |
|
|
|
Positionnement satellite |
GPS (USA), Glonass (Russie), Galileo (Europe) |
|
Capteurs |
Caméra verticale, ultra-sonar, 2 x IMU 6 axes, 2 x accéléromètre 3 axes, 2 x gyroscope 3 axes |
Bloc caméras |
|
|
|
Nombre de caméras |
3 |
|
Caméras électro-optique (EO) |
2 |
|
Caméra infrarouge (IR) |
1 |
|
Stabilisation |
Hybride 3 axes, mécanique 2 axes (roll/pitch), numérique (EIS) 3 axes |
|
Pilotage du tilt |
-140° à 110° |
Caméras EO |
|
|
|
Zoom numérique |
x32 |
|
Vitesse d’obturation |
1/10000s à 1s |
|
Définition vidéo |
4K / FullHD / HD |
|
Format vidéo |
MP4 h.264 |
|
Définition photo |
Large : 21 mpix avec FOV 84°, Rectilinéraire : 16 mpix avec FOV 75,5° |
|
Formats photo |
Jpeg, DNG (RAW) |
Caméra IR |
|
|
|
Capteur |
Flir Boson |
|
Définition |
320 x 256 |
|
Plage de températures |
-40°C à +150°C |
|
Sensibilité |
<60 mK |
|
Format photo |
Jpeg |
|
Format vidéo |
MP4 h.264 |
|
Définition enregistrement vidéo |
1280 x 720, 9 fps |
Batterie |
|
|
|
Type |
Lipo haute densité (3 x 4,4 V ) |
|
Capacité |
3400 mAh |
|
Autonomie max |
32 minutes |
|
Connecteur pour la charge |
USB-C |
|
Temps de charge |
2h avec une prise USB-PO (Power Delivery), 3h20 avec le chargeur fourni |
|
Poids |
195 grammes |
|
Tension |
11,55 V |
|
Tension max |
13,2 V |
|
Puissance de charge max |
30 W |
Skycontroller 3 |
|
|
|
Poids |
263 grammes |
|
Dimensions fermé |
9,4 x 15,2 x 7,2 cm |
|
Dimensions ouvert |
15,3 x 15,2 x 11,6 cm |
|
Système de transmission |
Wifi 802.11a/b/g/n |
|
Fréquences |
2,4 GHz et 5,8 GHz |
|
Portée maximale |
4 km |
|
Définition du retour vidéo temps réel |
720p |
|
Batterie |
2500 mAh 3,6 V |
|
Autonomie de la batterie |
2h30 avec Android, 5h30 avec iOS |
|
Compatibilité |
Smartphones avec un écran de 6,5 pouces max |
|
Connecteurs |
USB-C (charge), USB (connexion au smartphone) |
Contenu de la boite |
|
|
|
Anafi USA |
1 |
|
Batteries |
3 |
|
Skycontroller 3 |
1 |
|
Accessoire support tablettes |
1 |
|
Chargeur 1 port USB |
1 |
|
Jeu d’hélices |
1 supplémentaire |
|
Câbles USB |
4 |
|
Mallette de transport |
1 |
Prix |
|
7000 € H.T. |
Pas mal ! Si ils ont gardé le confort de vol des premières version, c’est un bon outils.
Cependant, ils aurait pu en profiter pour revoir un peu le design du contrôleur, il fait un peu gros quand même
En catégorie open au dessus de 250g NFZ obligatoire, en spécifique pas encore défini pour le C5 et C6, mais j’imagine mal l’europe faire l’impasse. Qu’elle est la position de Parrot ?
@ FX : Je n’ai pas d’informations sur le sujet. Mais aucun constructeur ne communique puisque la base de données des NFZ en question n’existe pas…
Superbe Multirotors !!
Ma question: pourquoi avons nous pas su une fois de plus créer cette production sur le sol gaulois. La réponse n’est plus nécessaire…
@CriTof : dans les accords avec l’armée américaine certainement une clause obligeant à sa fabrication sur le sol amérloc ?
@TicaMoi, tout a fait! il suffit juste qu’il soit assemblé aux USA comme les Airbus pour s’affranchir
des taxes d’importations mise en place par ce sympathique président Trump.
Sinon ils serait invendable avec 25 % de taxes d’importations en plus!
Effectivement !
J’avais juste omis ce léger détail…
Ravis pour Parrot d’avoir remporté un marché Yankee
Merci pour vos vos réponses pertinentes. Bon vol !
Le prix s’explique certainement par la caméra thermique intégrée . Dommage qu’il soit construit aux USA, mais cela devait être le deal entre Parrot et le gouvernement américain pour avoir le marché .
Waouh ! Parrot est à l’apogée de sa “Joke” com… Une société française qui fabrique sur le sol américain dont les données de son nouvel engin sont stockées sur des serveurs européens !!!???? Et c’est destiné à intéresser le marché professionnel et soi-disant militaire U.S en priorité…
Waouh ! Si tu travailles un jour avec l’administration américaine, tu sauras que c’est anticonstitutionnel dans le principe même que tout ce qui n’est pas américain de nature (brevets, certifications…etc), le devient obligatoirement pour être totalement exploitable de façon légale sur ce territoire.
Donc, soit Parrot se fait “une pignolade du seigneur”, une nouvelle fois, pour vendre sa camelote aux “gogos” francophones et l’argument “Made in USA” se justifie pour en mettre plein la vue… Soit ils sont coupables d’avoir vendu leur âme bien française… Peut-être au “Diablotin blondinet de la conquérante bannière étoilée”. Chacun y verra son camp…ou pas.
Après la sublime humiliation commerciale sur le marché international du drone grand-public face au chinois DJI ! Ils remettent le couvert avec ça… Eh ! Frrrrrééééérrrrrot, ils sont pas un peu “maso” dans cette entreprise.
Quand tu connais la parano sécuritaire américaine depuis toujours, et surtout dans le domaine des données informatiques en ce moment… C’est un véritable sketch humoristique que tu nous affirmes là, hein Frédo… Des serveurs européens bien sûr, mais honnêtement gérées par une société coréenne si je puis dire…Hihihihihihi… Ah ! Sacré français, hein Brigitte !