Airinov : le clap de fin

La page d’accueil d’Airinov affiche un communiqué indiquant officiellement la cessation d’activité de la société. Filiale de Parrot, elle oeuvrait dans les solutions destinées à l’agriculture.

Pour quelles raisons ?

Contraction du marché, réglementation trop lourde et scénario 0 qui n’a jamais abouti, modification du marché vers l’internalisation des services dans les chambres d’agriculture, coûts de fonctionnement trop élevés, concurrence rude ? L’abandon des activités d’Airinov tient sans doute pour partie à toutes ces raisons. 

Source : Airinov
Merci à Boris pour l’info !

3 commentaires sur “Airinov : le clap de fin

  1. Merci Fred. Certains d’entre nous ont été informés par mail.
    En espérant que la situation d’Airinov ne cache pas de façon plus générale les difficultés de la filière drone en France: réglementation stricte, concurrence de certains acteurs pas très professionnels et peu soucieux des règles, conséquences sur la baisse des prix…
    Je serais curieux de savoir si il existe des informations économiques sérieuses sur l’évolution des professions du drone: données sur les sociétés, évolution du marché et répartition des activités, typologie des drones…
    De notre côté on a constaté un recul des attentes de nos clients et une forte demande de baisse des tarifs.
    Mais on est peut-être les seuls…

  2. La france, pays pour décourager, freiner, plomber toutes idées et développements !
    Je suis deg ! Non, … Ecoeuré !!

  3. @CriTof ne soyez pas si critique vis à vis de la loi. C’est pas la raison à tous les problèmes de Airinov. Ils se sont plantés sur certains sujets, rien de plus. Les clients se sont équipés en drone en plus. Tout ça additionné, ça n’a pas tenu. D’autant qu’il avait une pression de la part de leur investisseur : Parrot. Qui lui même a des pressions de la part des siens pour être rentable. Donc je ne dirais pas que c’est Airinov qui ferme (au sens figuré évidemment), c’est plus Parrot qui continu à se recentrer dans ses métiers.

    Après comme le dit Patrice Drone, il est grand temps que la DGAC se réveille et s’occupe des acteurs pas très professionnels et peu soucieux des règles… Surtout que certain d’entre eux (Web2** pour ne citer qu’eux) sont soutenus par notre grand constructeur de drone de loisir national pour écouler des vieux stocks…

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