SpeedyBee Bluetooth-USB Adapter
SpeedyBee propose des outils pour faciliter la configuration d’un multirotor équipé de Betaflight, avec une liaison sans fil qui permet de remiser les câbles USB. Après le petit module à souder sur un contrôleur de vol (voir ici), le contrôleur de vol pré équipé de ce module (voir là), voici l’adaptateur Bluetooth-USB. Le principe ? Vous branchez cet adaptateur à votre contrôleur de vol via sa prise microUSB. 
Ensuite, vous pouvez accéder aux réglages de Betaflight depuis un téléphone mobile avec l’application SpeedyBee, sans fil. En effet le module établit une liaison radio entre le contrôleur de vol et le smartphone.
Sympa et pratique ?
Oui, sans doute. Mais il faut tout de même noter qu’il est nécessaire d’alimenter le module avec une batterie (de 2S à 7S) avec une soudure préalable du câble XT60 (fourni), et qu’il faut suffisamment d’espace autour du connecteur microUSB du contrôleur de vol. Ses dimensions ? 4,2 x 2 x 0,56 cm. Pas de souci sur un racer de classe 200 ou plus, mais il faudra bien vérifier pour les modèles de plus petite taille, car parfois même le branchement d’un simple câble n’est pas facile. Le Bluetooth-USB Adapter de SpeedyBee est proposé à 18 € chez Geekbuying (avec le port mais hors taxes).
Tu pourras toujours, en cas inaccessibilité, brancher une rallonge USB entre les deux et garder ce module en externe.
Ca fait cher le cable OTG qui fait la même chose 🙂
@SeByDocKy : Ah ben oui, mais va mettre un câble OTG sur mon iPhone 😉
@Fred: problème de riche 🙂
@SeByDocKy : Aha, c’est pas faux. D’un autre côté, l’univers drones est un problème de riche 🙂
Oui mais c’est pas parce que tu as un drone de riche que tu as forcément un iPhone !
Ça me fait penser que j’ai un module wifi qui traîne dans ma caisse depuis plusieurs années, le plus pratique est de régler les pid par l’OSD via la radio… après les autres paramètres BF ça peut attendre la maison. Moins on a de gadget sur le spot moins on perd de temps à tout déballer et a configurer le matos sur place. Maintenant c’est vrai que notre passion à un coût non négligeable, mais parler de richesse, il ne faut pas exagérer non plus, pourquoi mesurer la richesse aux biens matériels, bien souvent ceux qui achètent beaucoup de gadgets sont les plus pauvres, avoir une 2CV ou avoir une Ferrari ne change rien à la valeur du homme… riche ou pauvre, on retournera dans le trou.