DJI Goggles, la preview

J’ai eu la chance de pouvoir prendre en mains le masque de DJI pendant quelques jours. Il s’agissait d’une version non définitive et je n’ai pas eu accès à toutes les fonctionnalités, ceci est donc une preview, pas un test. La première impression est déconcertante : le masque est énooorme ! On est loin des lunettes de type Fat Shark, ou Skyzone, encore moins des Cinemizer de Microoled ou Moverio BT-300 d’Epson. Même les masques Quanum, Eachine ou Transformer de Fat Shark sont petits en comparaison avec ce DJI Goggles. Le masque est constitué de deux parties qui se détachent, mais qui doivent être réunies pour fonctionner. DJI annonce 490 grammes pour le boitier (avec les écrans et l’optique) et 500 grammes pour le bandeau (qui inclut la batterie). Sur ma balance, le boitier s’est affiché à 496 grammes et le bandeau à 546 grammes. Soit plus d’un kilo sur le crâne !

C’est lourd ?

Oui, un kilo, c’est lourd. Mais une fois le casque en place, la partie avant rabattue sur le visage et la partie arrière ajustée avec l’aide d’une molette de serrage, il se fait oublier. C’est difficile à croire, pourtant le masque est confortable, notamment avec des coussinets rembourrés et recouverts de tissu. Bien joué de la part des ingénieurs de DJI qui ont réussi à gérer l’équilibrage de telle manière à ce que le masque ne tire ni vers l’avant ni vers l’arrière. Jusqu’à 30 minutes d’utilisation, le poids n’est pas un souci. Au-delà, il est indispensable de faire une pause. Cela dit, cette pause est salutaire pour les yeux, aussi… La batterie est donnée pour 6 heures d’autonomie. A vrai dire, je ne suis pas arrivé au bout de la batterie sur une journée de vols, ce qui est plutôt bon signe, même en enchaînant des vols. La charge passe par un connecteur microUSB. Le ridicule ne tue pas, mais les masques FPV ne sont tout de même pas super sexy. C’est particulièrement vrai avec ce DJI Goggles et son look tout droit sorti d’un épisode de Star Trek (période STTNG, pas celle de l’époque « collants moulants »).

L’aspect extérieur

Pour contrôler le masque, tout se passe du côté droit. Il y a le bouton d’allumage et 4 diodes qui témoignent de l’état de la batterie. Pratique pour quelqu’un qui doit surveiller un parc de masques, un centre de formation par exemple. Dessous, on trouve 2 boutons pour piloter l’interface et une molette pour le réglage inter pupillaire. Et c’est tout ? Non, mais le reste n’est pas visible ! La surface creusée de sillons au-dessus du bouton d’allumage et des diodes est un pave tactile. C’est un peu déroutant au début, mais on se fait rapidement à la navigation en faisant glisser un doigt ou deux doigts. Elle est intuitive – et c’est heureux, puisqu’une fois le masque chaussé, on ne voit plus que l’écran.

Et l’image, alors ?

Je vais faire simple : de tous les masques et de toutes les lunettes d’immersion, les écrans du Goggles de DJI sont ceux qui m’ont le plus impressionné. On a l’impression d’être assis dans les premiers rangs au cinéma : l’image est grande. Mais pas trop – on serait au tout premier rang, avec un écran si grand qu’il faudrait parcourir avec les yeux. Là, on visualise l’intégralité de l’écran sans effort. Point important, l’image est nette même dans les coins – les possesseurs de certains modèles de chez Fat Shark comprendront l’importance de cette constatation. Mieux que le Sony HMZ-T3 ? Oui, d’autant qu’il s’agit de Full HD (deux écrans de 1920 x 1080 pixels), pas de HD Ready (720p). L’image était un peu floue lorsque j’ai chaussé le masque. Un petit problème de presbytie que je dois à mon âge avancé. La bonne nouvelle, c’est que j’ai pu conserver mes lunettes de correction avec le masque – et l’image est devenue parfaitement nette.

Les sensations en vol ?

Voler au-dessus de la canopée, à quelques mètres de la cime des arbres en distinguant chaque feuille, c’est un véritable plaisir. Oubliez les images vidéo floues, percluses d’effets « escaliers » du retour vidéo analogique en 5,8 GHz, le numérique offre une image nette, avec du contraste et des détails. On a un peu l’impression d’être dans un siège de cinéma en train de regarder une séquence filmée en hélicoptère. Avec les vibrations et le bruit en moins, et le contrôle des commandes en plus. Le pied ! La fonction Fixed Wing n’était pas disponible quand j’ai essayé le masque, dommage car la promenade « en mode avion » doit être une belle expérience avec le masque Goggles. La présence du mode « Fixed Wing » dans les menus m’avait intrigué au point de me demander à l’époque (c’était en en février dernier) si DJI n’allait pas sortir une aile volante type Disco de Parrot.

Les fonctions ?

Les fonctions que peut offrir le masque dépendent de l’appareil auquel il est connecté. Ou plutôt du type de connecteur. Avec une entrée vidéo en HDMI, l’écran ne propose pas de fonctions autres que l’affichage et ses réglages. C’est le cas avec une caméra branchée en HDMI, un lecteur Blu-ray, la radiocommande de l’Inspire 1 ou celle du Phantom 4 Pro+. L’entrée vidéo peut aussi passer par le câble USB. C’est ainsi que l’on peut connecte le Phantom 4 Pro (mais pas le Phantom 4 Pro+), l’Inspire 2 ou le Phantom 4 et le Phantom 4 Advanced. L’USB permet de passer quelques informations numériques supplémentaires par rapport au HDMI. Sur un Phantom 4 Pro, par exemple, on profite du Head Tracking… mais ce n’est pas le cas pour l’Inspire 2 ni le Phantom 4. En revanche, le contrôle du focus en HeadTracking (le netteté est réglée sur l’endroit que l’on pointe avec la tête) fonctionne avec l’Inspire 2.

Les fonctions ? (bis)

Pourquoi les différentes fonctions sont disponibles ou indisponibles selon les modèles de drones n’est pas facile à comprendre, DJI proposera probablement un tableau récapitulant l’intégralité des combinaisons. Edit ce tableau est disponible dans le manuel du DJI Goggles, proposé dans la section Download de la page de présentation US du masque – voir le tableau ci-dessous – merci à fafa20 pour l’info ! Mais avec le Mavic Pro, c’est assez simple : toutes les fonctions sont disponibles. La principale raison, c’est que le masque Goggles est doté d’un module OcuSync intégré. Il communique sans fil avec le Mavic Pro, sans passer par la radiocommande, donc sans HDMI ni USB. D’ailleurs le Mavic Pro est capable d’envoyer son signal vers 2 masques Goggles, simultanément. La meilleure expérience de pilotage avec le masque Goggles de DJI est celle que l’on obtient avec un Mavic Pro. On peut supposer que ce sera le cas de tous les futurs appareils équipés d’OcuSync. Il est fort probable que le Spark soit équipé d’OcuSync…

Rien que du bonheur ?

C’est certain, j’ai eu du mal à rendre ce prototype, le pilotage en Full HD et sur grand écran est une expérience très agréable à vivre. Je n’ai malheureusement pas eu accès à toutes les fonctions, certaines n’étaient pas opérationnelles. Je n’ai par exemple pas pu enregistrer les vidéos sur une carte microSD, ni tester la fonction TapFly (que d’ordinaire je rechigne à utiliser sur un écran tactile). J’ai procédé à quelques mesures de la latence. DJI parle de 110 millisecondes. C’est vrai, mais semble-t-il uniquement avec un Mavic Pro en 720p. Avec un Phantom 4 en 720p, j’ai obtenu une latence entre 150 et 180 milliecondes. Avec un Inspire 2 et sa caméra X5S, en 1080p, la latence a bondi à 200 millisecondes. Pour piloter en temps réel, les 110 millisecondes du Mavic Pro sont correctes, mais il n’est pas question de pratiquer des vols sportifs et en présence d’obstacles.

Et puis…

Au-delà de 150 millisecondes, le pilotage devient difficile, le retour vidéo est réservé au cadrage. Il prend tout son intérêt avec un Inspire 2 lancé dans un vol automatisé de type ActiveTrack ! Si vous avez envie de pratiquer le FPV racing, passez votre chemin : le masque Goggles ne prend pas en charge d’entrée analogique, à la différence des lunettes Cinemizer ou Fat Shark. A moins bien sûr d’utiliser un convertisseur qui va introduire de la latence ou d’utiliser un dispositif de retour vidéo numérique en temps réel de type Connex ProSight d’Amimon. Je n’ai pas essayé cette configuration, mais je suppose que la latence de l’ensemble est trop élevée pour envisager des vols rapides.

Faut-il l’acheter ?

Je ne vais pas répondre à cette question avant d’avoir testé le masque Goggles plus longuement, avec une version définitive et avec plusieurs modèles de drones. Car si tous les voyants sont au vert et si je suis très impressionné par cet accessoire, je me doute que le diable se loge dans les détails. Le prix, pour terminer cette preview, constitue une excellente surprise. Je m’attendais à un coût très élevé, mais ce masque est plutôt bien positionné, avec un prix de 549 €. Certes, c’est une somme, mais la concurrence est plus chère pour une définition inférieure et moins de fonctions spécifiques aux appareils de DJI, Mavic Pro en tête. DJI prend d’ores et déjà les précommandes du masque Goggles, avec une disponibilité annoncée pour le 20 mai 2017.

Mille mercis à Kosem, le grand chef du DJI forum francophone, pour son aide précieuse !

D’autres photos

Des lunettes correctrices placées dans le masque Goggles.

39 commentaires sur “DJI Goggles, la preview

  1. Est ce que c’est 1 écran avec lentille de fresnel ou 2 écrans séparés comme les masques de VR ?

    Il fait vraiment penser au PS VR de Sony.
    J’ai ce PS VR, il fait 370g, auquel on ajoute le poids de mon gros casque audio.
    On arrive à plus de 500g et il reste confortable pour des sessions de jeux d’1h.
    @Fred, est ce que tu ‘las déjà essayé ?

  2. Merci pour ce premier retour.

    Tu confirmeS que le head tracking fonctionne avec le P4P ? Tu as testé ?

    Si oui j’achète de suite…

  3. @ roger : Non, je ne peux pas confirmer, je n’ai pas essayé, j’avais le P4P+ en test sous la main, pas le P4P.
    Selon les documents de DJI (qui ne sont pas les derniers en date), toutes les fonctions de headtracking sont opérationnelles sur le P4P via l’USB, aucune sur le P4P+. Mais je n’ai pas vu de mes yeux vu 😉
    J’espère que DJI va publier un tableau récapitulatif des fonctions par rapport aux machines…

  4. Et bien c’est très prometteur tout ça ! Je serais vraiment curieux de tester voir ce que ça donne …
    Ce qui serait bien serait de le comparer aux casque de VR qui arrivent un peu dans tout les sens (oculus rift, PS VR, HTC vive etc.), évidement avec un flux numérique HD.

    Reste la latence a gérer, mais ça j’imagine que c’est bien plus lié à la transmission sans fil qu’au casque en lui même (puisque les casques VR permettent de jouer ils doivent avoir de très faible temps de réponse/latence). Et le prix, effectivement je trouve que c’est vraiment un sacré tarif ! Quand je vois le prix de nos lunettes FPV analogiques pas terribles (car comparé à un vrai retour HD comme ici), je me dis que ce serait bien un nouveau positionnement tarifaire.
    Bref la chaine vidéo de retour HD progresse, et ça c’est bon ! vivement la suite :-p

  5. Très intéressé en complément de mon Mavic, je vais faire tout pareil 😉 attendre qu’il soit vraiment dispo suivre les retours d’info et si les voyants restent au vert aller piocher (encore) dans la tirelire :-))

  6. @Fred dans la notice sur la fiche produit sur le site dji dans téléchargement il y a un tableau avec la compatibilité et les fonctions compatible pour chaque drone

  7. Je me demandais pourquoi les « modelistes » et amateurs de DIY sont souvent critiques envers DJI. Il me semble pourtant que Fatshark, immersionrc, TBS et autres n’innovent finalement pas trop ( voir pas du tout) : toujours la même technologie analogique, lunettes sur le modèle des vieilles fatshark base, hélices a fixer avec des boulons qui se font la malle, etc etc. Bref, des choses que on trouvait il y a 10 ans déjà, mais avec des améliorations cosmétiques.
    A comparer avec le numérique HD de DJI, le coté « intelligent » et connecté de leurs produits, et ce, avec une aisance d’utilisation déconcertante.
    En somme, DJI sent la technologie de 2017; tous les autres ont toujours la même odeur que mes vieux hélicos de 2007.

  8. Je suis assez agréablement surpris du prix, même si ça reste cher dans l’absolu. C’est là où tu te dis que les prix des lunettes FPV analogiques de base avec de pauvres écrans analogiques sont vraiment exagérés.
    Effectivement, je les testerais bien, par curiosité. Et puis, non, finalement, ça ne serait pas une bonne idée que je les testes…des fois que je sois emballé par le résultat. Pas une bonne idée du tout, même… ^^

  9. de rien @Fred j’ai hâte de le recevoir et je ferais un petit retour de l’utilisation avec le mavic

  10. Sympa la preview! J’ai aussi un problème de presbytie et malgré mes lunettes de lecture je n’ai jamais réussi à avoir une image nette avec mon Quanum V2 alors qu’avec mes Dominator V3 tout est net sans correction.
    +1 aussi pour l’écran que l’on a pas besoin de parcourir des yeux (l’autre inconvénient de mon Quanum)

  11. Bonjour, merci pour le pré teste.

    concernant l’utilisation secondaire : avec cette qualités d’affichage pourrais tu envisager de regarder un film en 1080P (provenant par exemple d’une nvidia k1) ?

    d’avance merci et merci d’avance pour ton futur teste avec produit final.

  12. Autant le Mavic pro est hyper transportable autant ce masque est tout simplement un parpaing.
    2 produits fait pour fonctionner ensemble et pourtant radicalement​ opposé.
    Je suis complètement fan des écrans full HD, du pavé tactile, de l’autonomie et du retour Ocusync. Mais punaise c’est juste vachement volumineux.
    Fred, comparé à un masque Headplay hd que donne ces googles DJI ? Y aura t’il une version grise comme le Mavic (plus discret quoi) ?
    En ce qui concerne le tarif, c’est une somme, mais je rejoins beaucoup d’entre vous sur le fait que c’est tout à fait contenu au regard de la technologie.
    DJI, je souhaiterai ce système en mode miniature pour racer et hyper transportable.

  13. Fred tu as pu mettre un lecteur bluray dedans ? Je suis curieux de voir ce que cela donne.
    Il faudrait deux cam sur le mavic pour avoir la vision en relief 😀

  14. @ MR Dinar : Non, je n’en ai pas 😎 J’ai branché la sortie d’un Freebox Player, ça fonctionne. Bon, pour regarder Hanouna, je ne suis pas sûr qu’il soit pertinent d’utiliser ce masque, je n’ai pas persévéré 😉

  15. Merci Fred pour cette precieuse preview !!! Je reste a l’ecoute de ton test complet avant certainement un achat a la clé……. eh oui un de plus, DJI auras complètement vider ma tirelire !!!!

    Seule question : qu’elle est la taille de tes lunettes de branche a branche car le problème avec ce type de masque c’est le port des lunettes !

    Merci pour ta réponse !

  16. Pas d’innovation ailleurs que chez DJI?
    Ne rêvez pas, vous n’aurez jamais de système de transmission numérique sans latence. Les transmissions vidéo numériques passent par de la compression de données par analyse d’images consécutives. Pour obtenir de la compression, il faut travailler sur quelques images avant de pouvoir transmettre quoique ce soit, donc on est toujours en retard de quelques images sur le direct.
    Pour avoir du vrai direct live, il n’y a pas mieux que l’analogique. La mauvaise qualité ressentie par chacun en analogique vient principalement de la piètre qualité des lunettes, faible résolution, contrastes et couleurs mediocres (les micro ecrans LCD sont mauvais). Si vous avez l’occasion testez les Zeiss Cinemizer vous aurez déjà un avis moins tranché sur l’analogique (même si le format de ces lunettes n’est vraiment pas pratique pour le FPV, trop de fils sur soi pour arriver à un équipement fpv complet).
    En soignant son équipement il y a moyen d’avoir une transmission FPV correcte: une bonne camera de 700 à 1200TVL vrais, un bon VTX (ils sont tous architecturés sur les mêmes puces en fait donc pas grande différences d’un VTX à l’autre), la qualité des antennes aussi peut jouer (le multipath peut dégrader une image), et des lunettes oled (mis à part les cinemizer je n’en connais pas d’autre).

  17. Les lunettes FPV idéales auraient la forme des Fatshark, les OLED des Cinemizers, et un recepteur analogique + Ocusync fait par DJI, et tout le monde serait ravi d’y mettre 600€.

  18. @ MAGNAC : A hauteur des verres, l’écartement est de 13,5 cm. Il atteint 14 cm à 3 cm de distance des verres (toujours dans le masque). Je ne suis pas certain d’avoir été clair 🙂

  19. Merci pour cet article,
    Est il possible de corriger la « netteté » de l’image si l’on souhaite porter les goggles sans lunettes de vue ?
    Merci

  20. @ Stéphane : Ce que tu peux faire, c’est jouer sur la distance interpupillaire, càd dire l’écartement des lentilles, comme sur des Fat Shark ou Skyzone. Mais pas sur la distance de l’oeil par rapport aux lentilles, comme avec les masques classiques. Je ne sais pas si ça répond à ta question ?

  21. Ok, si je comprends c’est qu’il va falloir que je porte des lunettes et surtout que j’aille m’en faire faire car pour le moment je m’accommode de ma presbytie sans lunette…?
    Merci

  22. Merci pour cette preview
    Ça a l’air top comme produit mais un truc que je comprends pas…à quoi sert ce masque avec un drone si lalence ne permet pas le vol en fpv ?
    C’est uniquement pour les vols très cool

  23. Fred
    J’ai lu récemment que certains testeurs étaient mécontents des Googles DJI avec port de lunettes de vue, apparemment le masque laisse passer la lumière au niveau des branches .. Dans ton cas et lors de ton test as tu constaté le même phénomène ? où, as-tu trouvé que le port de lunettes étaient bien adapté dans ce type de masque.
    Merci

  24. @ Stephane : Je n’ai pas souvenir d’avoir été gêné par de la lumière entrante. Pourtant je porte des lunettes et j’aime être en immersion complète (genre Skyzone avec une bande de caoutchouc pour chaque oeil). Mais il n’y a pas de miracle, les branches des lunettes doivent passer qqpart. Soit il y a un joint et ça devient pénible à mettre et retirer, soit il y a un espace.

  25. Bonjour à tous. Il y a une petite question que je me pose concernant ces lunettes : lorsqu’on les utilise, devons-nous avoir recours à un smart phone en complément de la Tx pour commander l’appareil? En consultant les infos concernant les P4, Mavic, Spark et autres machines, je remarque en effet que beaucoup de réglage s’opèrent via DJI GO.
    Cette question vous paraitra peut-être idiote (et je m’en excuse si c’est le cas) mais n’ayant jusqu’à présent utilisé que des systèmes sans « smart » assistance, je suis un peu dépassé par les avancées technologiques dans ce domaines.
    Je vous remercie d’avance pour vos éclairages.

  26. bonjour,
    je viens de les acheter c est lunette dji googles et si il y a une astuce pour hoter le flou je suis preneur ,
    car c est dommage , j ai essayer pas mal de reglage mais impossible
    merci cordialement

  27. mmmm, moi qui porte des verres progressifs, il me faut porter des loupe +3, sinon c’est flou, ce n’est pas trop génant, mais DJI va j’espère régler ce cas en numérique, de faire un dégradé de flou suivant la vue du pilote.Ils répondent que les ingénieurs ont fait en sortent que cela soit net, pour les porteurs de lunettes, certes mais pas les progressifs, soit dit en passant, les sexagénaires, dont je fais partis ou même d’autres plus jeunes les quinqua, quadra sont normalement plus aisés que les jeunes de 20/25/ ans, bref, régler l’écran pour les progressifs serait un boost pour les ventes des plus agées mmmm, les filles aussi

  28. Bonjour,

    Dans l’article vous dites : deux écrans de 1920 x 1080 pixels

    C’est donc du FPV VR ? et pas seulement fpv ?

    Je découvre le monde du fpv et c’est pas toujours clair, entre des casques qui semblent seulement FPV 1 écran et un 1 affichage, même dans les fiches techniques commerciales sur de sites de vente en ligne on ne sait pas trop si c’est un écran qui scinde en deux partie l’image pour avoir la stéréoscopie !

    Pour le moment, je croyais que seul parrot proposait un système VR ?

    Quelqu’ un peut-il éclaircir le sujet ?

    MErci

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