Minsk en timelapse depuis un Phantom 4

Cette vidéo met en scène de superbes vues en timelapse et hyperlapse filmées par Artem Pryadko (alias zweizwei), au-dessus de Minsk, la capitale de la république de Biélorussie. Le timelapse, c’est la méthode qui consiste à shooter des photos à intervalles réguliers, puis à les assembler en un film à 24 ou 30 images par seconde. L’hyperlapse y ajoute un mouvement. Pour que l’effet soit réussi, il faut d’une part que l’image soit très stable pour éviter les saccades, d’autre part que la durée de vol soit suffisamment longue.

Spécial Phantom 4

Les images de cette vidéo ont été captées par un Phantom 4 et un Phantom 4 Pro+ à différentes saisons : été, automne et hiver. Une superbe réalisation ! Le compte Vimeo de zweizwei regorge d’autres timelapses et hyperlapses, en l’air et au sol. Vous n’allez pas couper à l’habituel rappel à la règlementation française : de telles images pour les loisirs ne sont pas autorisées en France puisque les arrêtés de fin 2015 interdisent le vol en agglomération au-dessus de l’espace public, le survol de personnes et le vol de nuit. Et en Biélorussie ? Je n’ai pas la moindre idée de leur réglementation…

 

10 commentaires sur “Minsk en timelapse depuis un Phantom 4

  1. Quand on voit ce genre d’images, on en regretterait presque que ce soit interdit en France (même si on comprend les raisons pour lesquelles ça l’est, et qu’on y souscrit).
    Le coeur a ses raisons que la raison ignore… ^^

  2. Y’a 2 ans de ça, j’ai acheté un drone pour faire des dronelapses. Après avoir fait des timelapses d’Annecy depuis le sol, je voulais faire la même chose depuis les airs. La reglementation à eu raison de mon projet, et 2 ans plus tard je vois cette superbe vidéo. Bravo à lui, c’est superbement filmé, mais j’ai un petit pincement de ne pas avoir pu faire de même ici

  3. Lauphagui bientot des nanodrone 4k ? qui permettraient un risque quasi nul vu leur poids mini mini ?

  4. @MR Dinar : pourquoi pas? Je ne suis pas contre.
    Mais il faudrait pour cela introduire la notion de catégories (selon des critères de poids, notamment), et faire en sorte qu’un nanodrone pesant moins de 100 gr, par exemple, ne soit pas mis dans le même sac qu’un drone de 2 kg, ou même qu’un engin de plus de 500 gr. Ce qui n’est pas le cas pour le moment.

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