Hoverfly Power Tether pour Yuneec Typhoon H

Les 22 minutes d’autonomie du Typhoon H de Yuneec ne vous suffisent pas ? Il y a moyen de maintenait l’appareil en vol pendant une journée ! Et sans doute même plus, d’ailleurs. Le boitier Power Tether de Powerfly se branche sur le secteur et permet d’alimenter le Typhoon H depuis le sol, via un câble de 45 mètres. Parfait pour retransmettre des images 720p en temps réel pendant un événement sportif ! Le Typhoon H n’est pas certifié pour endurer des vols sur la durée, mais la redondance de ses hélices, ESC et moteurs lui permet de voler même si l’un d’entre eux venait à lâcher. La boitier héberge une batterie de 860 mAh de secours au cas où le courant soit coupé, pour assurer l’atterrissage du Typhoon H. Le boitier fonctionne en 110 et 220V, mesure 38,1 x 30,5 x 17,8 cm pour un poids (avec le câble) de 600 grammes. Combien ça coûte ? $3000 chez Hoverfly (sans le port, sans les taxes).

Source : Via sUAS News

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11 commentaires sur “Hoverfly Power Tether pour Yuneec Typhoon H

  1. En race cela sera marrant de démêler les ficelles….
    J’aimerais connaître la tension d’alimentation de la rallonge…
    Cela devrait être de l’ordre de 36-48V pour tenir la puissance ?

  2. Il ne faut pas que quelqu’un se prenne les pieds dedans lol… mais on ne peut pas appeler ça une vraie solution, faudra espérer que d’ici les 10 ans à venir les chercheurs fassent un vrai bon en avant au niveau de l’autonomie des batteries, que l’on puisse voler à pleine puissance pendant 1h… pour l’instant la nouvelle génération prototype de batterie Li-metal G3 multiplie par 2 celle des lipo mais visiblement, il doit y avoir encore quelque chose qui freine sa commercialisation.

  3. Il y aussi une start up française qui fait ce genre de matériel. Seulement avoir un cable de 220v en l’air sur 45m, c’est pas legal ni sécurisé du tout … (même en disant que c’est du kevlar toussa toussa)

  4. étant donné que le multirotor serait relier au sol, les senariis et leurs legislations sonts toujours indispensables ?

  5. @Khancyr : il n’ont pas le droit de tirer un câble de haute tension (>60V) sans précautions particulières, les normes sont strictes dans ce domaine, c’est pour cela que je parle de 36/48V où l’on reste en TBTS pour les spécialistes (Très Basses Tensions de Service). Sinon on rentre dans le domaine des tensions dangereuses et là c’est pas gagné et le câble pèsera plus lourd que la machine qui le tire 🙂

  6. c’est encore une bonne idée développée pour le Typhoon H, une caméra aérienne pendant 1-2h voir plus coûte bien moins chers que la location d’une nacelle.

  7. Meme en 48V je ne suis pas sur que ça soit trés légal vu l’ampérage qu’il faut envoyer étant donné la consommation de l’appareil, les pertes dans le cable (oui au bout y a pas 48v surtout quand on est a en train de tirer sur les gaz) etc… Aprés il existe des solutions en jouant sur la fréquence, mais c’est pareil… je pense pas que c’est trop légal …

    Sinon, ici, le cable ne semble servir que pour l’alimentation c’est pas un élément de sécurité. Il n’y a pas de treuil d’ailleurs (et les drones n’aiment pas les treuils). Mais au niveau de la loi (enfin l’année derniere) il me semble que ça change rien, un drone volant avec un cable sécurisé reste dans les mêmes critères de poids que les autres, ce n’est pas un aérostat !

    ( j’ai expérimenté ce type de solution en entreprise à la fois pour la transmission de puissance, et la partie sécurisation avec un treuil : https://www.youtube.com/watch?v=e6VII-EMrEI pour ceux intéressé)

  8. Le fait d’être captif au regard de la règlementation française est lié au fait d’être « relié par tout moyen physique: – au sol ou à une structure fixe; ou – à un mobile ou à son télépilote, ne pouvant être soulevé ou déplacé par réaction de l’accroche de l’aéronef captif » et de pouvoir résister « à quatre fois l’effort de la poussée statique maximale et de la force aérodynamique résultante du vent maximal autorisé en vol« . (c’est pas de moi, hein, c’est dans l’arrêté Conception). Ca permet de réaliser des vols autonomes (sans possibilité de reprise de contrôle) et de simplifier les requis en S-1 et S-3, en activités particulières (pros uniquement donc).

  9. vivement que les EPPZ arrivent sur nos drones… je plaisante mais seulement à moitié. bonne année à tous

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