Le faon et le drone

serrantdroneElles sont chouettes, les jolies histoires de drones qui sauvent des vies. Pas plus tard que le week-end dernier, à Saint Georges sur Loire près Angers, un faon a été sauvé de la noyade. Il peut remercier un Phantom 3 de DJI et son pilote Thibaut Poirier (un professionnel du drone). La bête, terrorisée par une battue, avait sauté dans les douves du château de Serrant. Un kayak a permis de s’approcher de l’animal pour l’encorder et le hisser hors des douves. A quoi a servi le Phantom ? A rabattre le faon paniqué vers le kayak, puis à filmer l’intervention.

Source : le récit complet est à lire sur le site de Ouest-France


SAUVETAGE DU BAMBI DE SERRANT par EditionNumerique

12 commentaires sur “Le faon et le drone

  1. Bravo ! pour le sauvetage et le courage des intervenants, cela n’a probablement pas été sans risque, pour le Phantom, ni pour le kayakiste 🙂

    Comme quoi un drone peut aussi aider à sauver des vie 🙂

    Ce qu’il faut en retenir c’est que si le drone a ici été utilisé dans un but louable, nous avons aussi la preuve que nos machines peuvent effrayer les animaux (ce qui a heureusement permis dans ce cas le sauvetage).

    Mais n’oublions pas, que de survoler des animaux quels qu’ils soient, peut les affoler au risque de les précipiter vers la mort 🙁

  2. il n’avait pas vraiment l’air apeuré sur la vidéo, au contraire, il se dirigeait vers lui 🙂

  3. @Fab : Ca dépend du point de vue. Je pensais que le gilet de sauvetage ne servait à rien pour les jeunes, mais j’ai eu le plus âgé des deux par mail. Il m’a assuré que le gilet avait fait toute la différence pour la suite du sauvetage… Après, chacun son avis sur la question 🙂
    Je n’ai pas eu le faon par email, mais Thibaut le pilote nous a fait la gentillesse de passer ici…

  4. c est bien sympa mais le faon est surement mort,vu qu il a ete touche par un etre humain.il n y avait pas un garde chasse ou autre dans le coin pour s en occupe?

  5. Malheureusement, ce « sauvetage » n’aura fait que condamner le faon à une mort certaine. Un faon n’est pas sevré avant septembre et sa mère n’a aucune chance de le reprendre après son contact avec des humains dont il va porter l’odeur.
    Il aurait fallu le confier à un centre capable de le nourrir au biberon.
    C’est affligeant comme le mythe de Bambi est encore tenace 🙁 ….

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