Walkera Tali H500, le test (1)

Dsc_0019-600Ce n’est pas exactement un micro appareil que nous chroniquons sur Helicomicro… Le Tali est un hexacoptère (6 hélices, 6 moteurs) grand format. Notez qu’il nous a été prêté par la boutique StudioSport. Si vous pensez à la lecture du test, que nous avons été influencés par ce prêt, dites-le nous !

Les préliminaires

La version que nous avons testée est la « complète » de Walkera. C’est-à-dire qu’elle inclut le Tali H500, sa batterie, le chargeur, la radiocommande F12E, la nacelle G-3D et la caméra iLook+. Cette configuration est dite RTF (Ready To Fly) : une fois les batteries chargées, vous décollez directement sans besoin de procéder à des réglages sans fin. Pratique ! Nous verrons dans ce test, publié en plusieurs posts parce qu’il est forcément un peu long, qu’il est possible de choisir une version moins complètes. Soit pour alléger la facture, soit pour utiliser des composants dont vous disposez déjà ou de qualité supérieure.

Tour du propriétaire

Dsc_0010-600Le look du Tali est trompeur, il laisse supposer qu’il est plus long que large. Pourtant, sans ses hélices et train relevé, il mesure 47 de longueur et 53,8 + 2×1,5 cm, soit 56,8 cm de largeur. Les 53,9 cm correspondent aux bras moteurs, les 2×1,5 cm au train qui dépasse de chaque côté. L’épaisseur est de 11 cm (sans les accessoires vidéo). Une fois les trains relevés, il mesure 26,8 cm de hauteur pour une longueur inchangée et une largeur diminuée de 3 cm. Le train d’atterrissage est motorisé ! Et ne fonctionne qu’avec ses moteurs : vous ne pouvez ni le baisser ni le relever « à la main ». Le canopy blanc ressemble beaucoup à celui du Phantom de DJI. Ce qui est rassurant, c’est qu’il n’émet pas de craquements lugubres quand on le manipule un peu fort, à la différence du Phantom ou du QR350X. Les bras comportent des diodes (deux par bras, une dessus et une dessous) et des évents pour laisser s’échapper la chaleur.

Motorisation

Dsc_0030-600Les moteurs sont libellés WK-WS-34-001, à 500 KV. Ils accueillent des hélices de 9 pouces (23 cm) autobloquantes. Ca veut dire quoi ? Que chacune d’entre elles peut être montée en 4 secondes chrono, sans besoin d’aucun outil : il suffit de la poser sur le pas de vis du moteur et de la faire tourner jusqu’à ce qu’elle se trouve bloquée. Si l’hélice n’est pas placée au bon endroit, elle ne se laisse pas visser ! Des icônes sur les bras des moteurs et sur les hélices permettent, de toute façon, de vérifier le sens de rotation. L’installation d’une hélice se termine en la serrant tout en maintenant le moteur. Pas besoin de forcer. Les 6 hélices sont en place en moins de 30 secondes, et sans outil. Les retirer est encore plus rapide, il suffit de les faire tourner dans le sens inverse en maintenant le moteur. Dsc_0068-600L’avantage de ces hélices autobloquantes ? Elles permettent d’éviter de se tromper de sens et, surtout, facilitent le transport de l’appareil. L’inconvénient ? Elles sont un peu plus onéreuses et elles sont plus difficiles à équilibrer.

La batterie

Un trou béant s’ouvre à l’arrière du Tali : il s’agit du compartiment destiné à accueillir la batterie. Laquelle reprendre le principe inauguré par DJI avec le Phantom 2 : une batterie dite « intelligente ». Le terme peut prêter à sourire, mais il permet surtout à Walkera de rester maître de la vente de ses batteries. Les packs ne sont pas visibles, protégés dans une gangue en plastique et animées, semble-t-il, par une électronique. Dsc_0063-600Les dimensions ? 21,3 cm de longueur, 7,4 de hauteur et 7,1 de largeur. La tête de la batterie, qui reste à l’extérieur du Tali, qui comprend un interrupteur, un bouton d’allumage et des diodes, dépasse bien. Et assure à cette batterie un look phallique… (vous ne trouvez pas ? Ok, c’est moi). Les connecteurs principaux se trouvent sur le haut de la batterie. Mais le connecteur d’équilibrage est le côté, protégé par un clapet en caoutchouc. Pour insérer la batterie, c’est facile, il suffit de la glisser dans le compartiment et de pousser jusqu’à ce qu’elle soit enclenchée. Pour la retirer, il faut presser les côtés de la batterie et la tirer. Elle pèse 709 grammes. C’est-à-dire plus que le poids de la plupart des multirotors en ordre de vol qui sont généralement testés sur Helicomicro ! C’est une 22,2 V (donc une 6S, 6 cellules) 5400 mAh 10C.

Et pour la recharger ?

Dsc_0067-600Pas de chargeur Walkera, la boîte contient le célèbre chargeur Imax B6. Une valeur sûre qui permet de recharger tous types de batteries. Un adaptateur pour la prise d’équilibrage est fourni, ainsi qu’un autre adaptateur pour les deux connecteurs principaux. La recharge complète, avec les réglages par défaut (5 A) prend 3 heures. Vous pouvez allumer la batterie hors du Tali. Il suffit de faire glisser son interrupteur la position On, puis de faire une pression longue sur la touche en triangle. Les diodes s’allument pour témoigner de l’état de la charge. Si les 4 barres sont au vert fixe, la batterie est pleine. Une barre clignotante indique une perte de charge, tout comme une diode éteinte. Pratique pour savoir où vous en êtes. Pensez toutefois à toujours éteindre complètement la batterie, sur position Off, avant de l’insérer (ou de la retirer) dans le Tali. Dsc_0023-600Notez que la prise d’équilibrage est un peu difficile à retirer. Il faut l’ôter avec précaution, sans tirer sur les fils sous peine de les voir de détacher, tôt ou tard…

La nacelle pour la caméra…

Notre Tali H500 est livré avec la nacelle G-3D de Walkera, stabilisée sur 3 axes. En clair, cela signifie qu’elle compense lorsque l’appareil s’incline vers le bas ou vers le haut (le pitch), penche à droite ou à gauche (le roll) ou tourne à droite ou à gauche (le yaw). Les deux premiers servent à obtenir une image stable quand l’appareil est secoué, le 3e évite que la caméra ne tourne trop vite lorsque le multirotor ne conserve pas son cap. Dsc_0051-600C’est une nacelle de dernière génération qui permet d’obtenir, en théorie, des images fluides et souples même si vous pilotez comme un sauvageon ou si votre appareil est malmené par le vent. Elle est composée de plusieurs éléments : une plaque montée sur amortisseurs en caoutchouc, destinée à réduire les vibrations. Sur cette plaque est fixée la centrale de commande, avec plusieurs diodes, une touche de commande et deux vis pour régler l’équilibrage. Elle est reliée au Tali par un câble à 9 fils qui fournit à la fois l’alimentation et les ordres de commandes. D’autres câbles partent alimenter les 3 moteurs de la nacelle. Brushless, de petit format, ils sont tout de même un peu plus gros que ceux de la nacelle Zenmuse de DJI. Un peu plus puissants, aussi, nous le verrons.

La nacelle en détail

Dsc_0060-600Le berceau de la nacelle est prévu pour la caméra iLook+ de Walkera. Mais elle est aussi compatible avec les caméras Gopro 3, ainsi que la cohorte de caméras de type Gopro, du moins celles qui adoptent les mêmes dimensions. La caméra est maintenue par une barre. Solidement. Mais pour la retirer, il faut s’armer d’un tournevis (fourni !) et veiller à ne pas perdre les minuscules vis. C’est gênant ? Non, car il n’est pas nécessaire de retirer la caméra : il est plus simple d’ôter tout la nacelle ! Elle est fixée sur un rail vissé sous la coque du Tali, maintenue par une seule et unique vis. Retirer la nacelle (et sa caméra) ne prend qu’une dizaine de secondes : il suffit de dévisser l’unique vis et de débrancher le connecteur à 9 fils. Voilà qui est parfait pour éviter tout dégât à la nacelle pendant le transport. Excellente initiative de la part de Walkera – qui a sans doute appris de son concurrent DJI avec une nacelle difficile à retirer. Le poids de cette nacelle ? 188 grammes (sans la caméra).

La caméra iLook+

DSC_0007b-600Elle épouse les dimensions exactes de la Gopro 3… à deux exceptions près. Son objectif, tout d’abord, est plus proéminent : il atteint 2,2 cm alors que celui de la Gopro 3 ne dépasse pas 1 cm, et le côté droite de la caméra est occupé par une antenne champignon. Elle ajoute 2,2 cm sur la droite et 1 cm vers l’arrière. Passons à ce qui ne se voit pas. Le poids est de 82 grammes, à comparer aux 77 grammes de la Gopro 3. C’est plus lourd alors qu’elle est dépourvue de batterie (il faut un câble et une source d’énergie pour l’alimenter), mais il y a une raison à cela : en plus de l’optique et de l’électronique vidéo, la caméra héberge un émetteur vidéo à la norme 5,8 GHz. A l’arrière de la caméra, on trouve 3 interrupteurs qui permettent, en théorie, de choisir un canal parmi une sélection de 8. Et pour les réglages ? Le moins que l’on puisse dire, c’est que la iLook+ ne s’embarrasse pas de menus sans fin : un bouton permet de lancer ou stopper l’enregistrement, un interrupteur bascule du mode vidéo au mode photo. Et c’est tout !

Les caractéristiques de la iLook+

DSC_0020b-600Elle filme en Full HD, 1920 x 1080 pixels, à 30 images par seconde, et elle prend des photos en 4032 x 3024 pixels. Impressionnant ! Oui mais le capteur est un 3 millions de pixels. Or 4032 x 3024 représentent plus de 12 millions de pixels : les photos sont donc interpolées pour gonfler leur résolution. Quels autres modes sont disponibles ? Aucun ! Pas de possibilité de choisir la résolution des photos et des vidéos, l’angle de vue, le taux de compression, l’ISO, la balance des blancs, etc. L’avantage ? Il n’y a pas plus simple pour la piloter… Les vidéos sont stockées sur un carte mémoire (non fournie) de type MicroSD, jusqu’à une capacité de 64 Go.

Devo F12E, grand format

Dsc_0080-600Si vous êtes habitué aux radios Devo de Walkera, celle-ci vous surprendra par sa taille et son poids : 22 cm de large, presque 28 de longueur en tenant compte de ses antennes. Ses ? Oui, la Devo F12E est une radiocommande en 2,4 GHz « classique », mais elle contient aussi un module 5,8 GHz pour la réception de la vidéo. Il y a donc 2 antennes, celle de gauche en bâtonnet pour le 2,4 GHz, celle de droite en champignon pour le 5,8 GHz. Elle permet de capter l’intégralité des 32 canaux de la bande 5,8 GHz. Et pour visualiser la vidéo, elle est dotée d’un écran couleur de 5 pouces (12,7 cm) de diagonale. Il est protégé des excès de luminosité par un pare-soleil dépliable et amovible. Il est aussi monté sur une charnière, ce qui lui permet d’être relevé de quelques degrés. La F12E n’est pas un cockpit d’Airbus… mais elle y ressemble beaucoup. En plus des deux joysticks et de leurs trims, la radiocommande propose 6 touches pour piloter les menus (sur le modèles des autres radios de la marque), 2 interrupteurs à 3 positions et 4 interrupteurs à 2 positions, le tout complété par 4 manettes rotatives.

Radio et alimentation

Dsc_0091-600Avec son écran, cette radiocommande consomme forcément pas mal de courant. Pour l’alimenter, Walkera fournit un bloc destiné à accueillir 8 piles AA. Mais vous pouvez le remplacer avantageusement par une batterie à 2 ou 3 cellules : dans la trappe de la batterie figurent 2 connecteurs pour batteries 2S et 3S. L’avantage ? Avec une batterie de Phantom (2200 mAh 3S), la radiocommande et son écran fonctionnent pendant plusieurs heures ! Elle est livrée en mode 2, mais il ne m’a pas fallu (et je rappelle que je ne suis pas doué en bricolage) plus de 10 minutes, dévissage de toutes les vis compris, pour la passer en mode 1. Une fois allumée, la radiocommande démarre… elle a tout de même besoin de 15 secondes pour être opérationnelle. Ensuite, elle attend l’allumage du Tali. Et ? Et rien. L’appairage ne semble pas avoir fonctionné. La solution est celle que détestent tous les radiomodélistes : il faut d’abord allumer le Tali, puis la radiocommande. Ce qui n’est pas logique. Mais dans ce cas, le Tali et la radio se « parlent »…

Nous voilà au bout de la découverte du matériel. Il est temps de passer aux vols pour voir ce que le Tali H500, sa radiocommande, sa nacelle et sa caméra ont dans le ventre. Mais ça, ce sera dans la seconde partie

Une vidéo

Quelques vols du Tali H500 de Walkera avec sa nacelle stabilisée G-3D et la caméra iLook+, qui peine à contrejour, puis caméra orientée vers le bas en rotation et « Altitude Hold »…

 

41 commentaires sur “Walkera Tali H500, le test (1)

  1. Y a tout de même du bon matos pour le grand public.
    En revanche j’ai peur du prix. La vidéo est super stable est Fred s’amuse bien, super papier vivement la suite.

    Tiens est Walkera, Fred plus de mini quad ?

  2. Et en plus, c’est un nouveau concept, apparemment : un « quadri » à 6 hélices… 🙂

  3. Le fossé (financier) entre ceux qui choisissent le RTF et les amateurs de DIY se creuse !

  4. merci pour le test, la suite vite !!!
    apparemment il y a des soucis avec l’appareil concernant la gestion et la conséquence des vibrations de l’appareil, ils n’arrêtent pas d’en parler sur les forums US.

  5. Il y a toujours eu une énorme différence de prix entre une masturbation (DIY) et une prostituée (Ready To Fuck)

  6. Oui, la faute à la météo, clairement… 🙁
    Il y a quelques passages avec du soleil (!) dans les vidéos, l’image qui gagne beaucoup…

  7. Bonsoir; Pourquoi certains distributeurs font jusqu’à 70% de remise sur leur materiel. Merci de m’informer.

  8. Rien que le principe de la batterie propriétaire… Excusez moi, mais j’adhère pas !
    Ca coute un bras et au bout du compte, on peut tout aussi bien être intelligent avec un bon chargeur équilibreur et de la précaution d’usage.
    Observez les batterie phantom 2 qui commencent à faire parler d’elles ces derniers temps, avec même pas 20 charges au compteur…
    Sinon la nacelle avec le systeme integré 5,8ghz me plait beaucoup et c’est un zoli quad. Pffff…Hi, hi, hi…!

  9. Pas mieux, ces batteries proprietaires, je peux pas les avaler… je préfère le flypro x600 à celui-ci… déjà le look phantom j’en peux plus de le voir à toutes les sauces (et j’ai un phantom 1.1.1 !!!) et de plus il me semble bien plus évolutif pour bien moins cher ! Bien sûr faut pouvoir mettre les mains dans le cambuis…

  10. Oh, 20 charges ? Je dois bien en avoir fait plus d’une centaine sans aucun souci, c’est tout de même bizarre…

    Ce n’est vraiment pas un quad, hein, c’est un hexa 🙂

  11. Comme disait Florent, le fossé se creuse entre les DIY et les RTF. Il en faut pour tout le monde, devoir se coltiner des réglages et des branchements quand on n’y connait rien et que ça n’intéresse pas, c’est pénible. Et a contrario, être bloqué par un design figé, une batterie propriétaire, c’est casse-pieds. A chaque machine son public !

  12. Hé, j’en mets souvent en fin de vidéo, après le logo blanc.
    Mais avec le Tali, non, ce n’est pas une machine Culbuto. C’est un gros machin qu’on décolle et qu’on repose avec précaution. Si on veut s’éclater à faire du hors piste avec, comme les gars de Walkera Fans, c’est évidemment au risque de le flinguer. Faut pouvoir se le permettre 😉

  13. Oui, t’as raison , y a du matos ou faut pas faire le con, et tes culbutes sont souvent à la fin des vidéos.
    Enfin cela ma fait bien rire vu le prix qu’il doit coûter.
    Bon reprenons la suite du test.

  14. Bien sur pour l’exa 😉

    Pour les batteries propriétaire Phanton 2, je t’invite mon cher Fred à aller trainer un peu mieux chez ton coupain Kosem 🙂
    De plus en plus de problemes de fatigues prématurées et gonflement pour certaines… Pas cool vu le prix du morceau.

    Merci enfin pour ce nouveau test, comme d’hab bien sérieux !

  15. Ah mais je ne dis pas qu’il n’y a pas de soucis, of course 🙂 Je pense simplement qu’ils sont peu répandus, vu le nombre de machines (et donc de batteries) vendues.
    Je suis d’ailleurs étonné qu’il n’y ait pas plus de soucis : aucune de mes batteries non propriétaires de plus de 4000 mAh n’a tenu plus de deux ans. Gonflées, pertes de capacité, etc. Mais les 3 que j’ai pour le P2 n’ont pas bougé, ce qui me semble plutôt encourageant… Mais je suis bien conscient que ce n’est pas parce que les miennes sont ok que toutes les séries sont ok…

  16. Perso je n’ai jamais entendu de craquement lugubre sortir de mon Phantom! Faut dire que je ne crois pas aux esprits. Bon, j’avoue que des fois il me fait flipper et qu’il me file même la frousse mais pas de cris ni de craquements, jamais de bave verte non plus, ni de crapaud séché sous la coque d’ailleurs.
    Je pense que tu devrais faire exorciser le tien, non??
    :-))

    Plaisanterie mise à part, super article en 3 parties, bien documenté, complet et impartial, comme d’hab Fred 😉 On peut vraiment se faire à présent une idée beaucoup plus précise de ce bel oiseau. Merci 🙂

  17. Héhé ! Mais sérieusement, tous mes Phantom craquent quand je tords gentiment les bras. Ce qui n’est pas le cas du Tali. Ok, pourquoi chercher à faire autant de mal au Phantom ? Pourquoi suis-je si méchant ? Paaaaaarce queeeeeeeeee 😉

  18. Bonjour,j’ai acheté un FLYPRO X600 il y a quelques mois. Jusqu’à maintenant je n’ai toujours pas pu faire fonctionner la nacelle livrée avec. Est ce que vous pouvez me dire s’il est possible d’installer la nacelle Walkera G-3D sur ce drone ? une vidéo qui montre le montage ? Merci d’avance…

  19. Bonjour,
    Je recherche un Câble avec connecteurs
    de 9 Broches, reliant la Prise « Power »
    du contrôleur de la Nacelle à la Prise
    « Complex Data Port » du Tali H500.
    Quelqu’un peut-il m’aider ?
    Merci.

  20. bonjour a tous voila j ai fait l acquisition d un drone tali H500 il vol très bien mais j ai petit souci de réglage le train d’atterrissage ne correspond au bon bouton de mise en ouverture-fermeture cette fonction du train est parti sur le curseur de réglage de la camera vidéo je ne sais pas comment remettre la bonne fonction du coup ma camera ne fonctionne plus correctement aussi .
    merci de me donner un petit coup de main si quelqu’un sais
    cordialement

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