ImmersionRC ezOSD, le test

menu03OSD ? « On Screen Display ». En français, c’est un affichage sur l’écran… ce qui n’est pas très parlant. Un OSD, c’est un système destiné aux vols pratiqués avec une caméra à bord qui assure un affichage de l’image au sol, en temps réel, principalement pour faciliter le cadrage vidéo ou pour le pilotage en immersion. Il permet d’incruster les principales informations du vol sur l’écran. C’est-à-dire l’état de la batterie, la vitesse, le cap, la hauteur, la distance par rapport au point de départ… La plupart des OSD sont un peu compliqués à mettre en œuvre pour qui déteste bricoler et étudier des schémas de câblages. La force de l’ezOSD d’ImmersionRC, c’est d’être extrêmement facile à mettre en œuvre… si vous êtes équipé d’un matériel FPV de la marque, caméra et émetteur vidéo. Cet accessoire nous a été prêté par la boutique StudioSport.fr. Comme à l’accoutumée, n’hésitez pas à réagir si vous estimez que ce prêt a influencé notre chronique…

Tour du propriétaire

Dsc_0028-600Ce kit est constitué de deux éléments : un module capteur de courant, et un module GPS. Comment s’intègre-t-il sur votre multirotor ? Nous allons supposer que vous êtes équipé de manière traditionnelle, avec un émetteur vidéo de marque ImmersionRC et une caméra connectée sur cet émetteur. Le module capteur de courant est doté de deux connecteurs au format XT60 (le même, par exemple, que sur le Phantom 1 de DJI). La batterie est donc branchée sur la prise « battery ». La prise « esc » permet d’alimenter votre multirotor. Un câble part du module capteur de courant vers l’émetteur vidéo pour l’alimenter en énergie. Un autre câble part vers le module GPS. Passons à ce module GPS, justement. Nous l’avons vu, il est alimenté par un câble en provenance du module capteur de courant. Une autre prise part vers l’émetteur vidéo. Enfin, une dernière permet de brancher la caméra. Le module GPS doit être placé de telle manière que l’antenne (le carré blanc se trouve tourné vers le ciel, pour optimiser la réception. Notez que vous pouvez retirer le plastique protecteur pour libérer l’antenne et la placer de manière désolidarisée du module – mais ce n’est pas conseillé. Le câble de liaison est court, quelques centimètres à peine, et vous risquez d’endommager les composants liés par une mousse collante. Le module capteur de courant peut quant à lui être placé où bon vous semble. Le tout semble affreusement compliqué…

Mais pas du tout !

Dsc_0025-600Dans la pratique, le puzzle s’assemble rapidement, avec des prises aux formats différents les uns des autres, munies de détrompeurs : impossible de se tromper ! sauf peut-être à inverser les prises d’entrée de la caméra vidéo – la sanction est légère, on obtient simplement un écran désespérément noir. Associé à du matériel ImmersionRC, tout est « plug and play », il suffit de brancher sans se poser de questions. Un bonheur pour les allergiques au bricolage ! Et sans équipement ImmersionRC ? Vous trouvez dans la boîte un câble vidéo avec une broche d’un côté et des fils dénudés de l’autre. C’est à vous de réaliser le montage pour l’adapter à la caméra que vous utilisez. Côté caractéristiques ? Le module capteur de courant s’affiche à 18,4 grammes sur la balance, le module GPS pèse 28,9 grammes. A cela s’ajoutent le câble vidéo pour 6,7 grammes, le câble entre les deux modules pour 5,4 grammes, et le câble d’alimentation pour 2,8 grammes. Soit un total de 62 grammes, à peu près, en ordre de vol. Les dimensions ? 6,2 x 3,2 x 1 cm pour le module capteur de courant, 6,3 x 3,2 x 2,8 cm pour le module GPS.

Et… allumage !

menu04Lorsque vous allumez votre installation, l’OSD indique immédiatement sa présence en incrustation sur l’écran en affichant le logo de la marque et la version du firmware (logiciel interne). Après 2 à 3 secondes, les informations s’affichent en surimpression de l’image vidéo. Qu’y trouve-t-on ? Sur le haut de l’écran sont affichées les valeurs de la vitesse, de la distance par rapport au point de départ, la direction dans laquelle se trouve le point de départ, la hauteur (ou l’altitude par rapport au point de départ) et un indicateur de montée ou de descente. Pendant les premières minutes, le GPS tente d’accrocher des satellites : l’OSD l’indique avec des points (pas de satellites) et des icônes (satellites en vue). Une fois la position GPS acquise, cette ligne disparaît. En bas de l’écran sont indiqués le voltage de la batterie, la consommation en ampères et le nombre de mAh consommées depuis l’allumage. Est-ce satisfaisant ? Oui, les informations sont présentées en bord d’écran, ce qui permet de les oublier pendant le vol puisqu’elles ne gênent pas… Elles sont affichées avec une police de caractères suffisamment grosse pour rester lisible, même avec un écran ou des lunettes de faible résolution.

Au menu

menu01ImmersionRC a choisi de simplifier l’accès aux réglages de l’ezOSD… et c’est plutôt réussi. Le module GPS est doté de 3 boutons sur le côté notés Up, Menu et Down. Une pression sur Menu fait apparaître la liste des options à l’écran. On y trouve, entre autres, la possibilité de choisir entre les unités métriques et impériales (mètres ou feet et miles), de mettre en place des alarmes, de régler la taille de la marge à l’écran, de préciser et d’afficher le Callsign (indicatif), de forcer le point de départ, d’afficher un récapitulatif à la fin du vol, etc. On se fait très vite à la manipulation avec les 3 boutons. Notez qu’ils sont mémorisés entre deux vols, même lorsque l’OSD est éteint.

En vol ?

menu05Les informations basées sur la latitude et la longitude sont précises et efficaces : l’OSD affiche correctement la vitesse ainsi que la distance et le cap par rapport au point de départ. Cette dernière information se révèle très utile, c’est le moins que l’on puisse dire, lorsqu’on cherche à revenir à son point de décollage dans un environnement qui manque de détails visuels. Mais les indicateurs de montée ou descente et de hauteur ne sont à l’évidence pas très précis. A qui la faute ? Au GPS, puisque c’est lui qui peine à fournir des informations d’altitude fiables en temps réel malgré un taux de rafraîchissement des données de 10 fois par seconde – un baromètre altimétrique aurait amélioré la mesure. Les informations sur la batterie sont primordiales pour voler en sécurité : elles sont toutes regroupées en bas de l’écran. Pratique.

Alaaaarme !

menu06Mieux que l’affichage des valeurs, ezOSD permet de déclencher des alarmes ! Il y en a 4 en tout ! La première concerne le voltage : le circuit de ImmersionRC détecte automatiquement le nombre de cellules de votre batterie et vous prévient quand l’une d’entre elles est sous les 3,2 V. La deuxième alarme s’occupe de la capacité de votre batterie. Il vous suffit d’indiquer la capacité en mAh pour qu’il sache vous indiquer quand il est temps de revenir vous poser. Les deux dernières alarmes concernant le dépassement d’une hauteur que vous indiquez, et d’une distance par rapport au point de départ. Parfait pour respecter la législation du pays dans lequel vous vous trouvez ! Dommage, tout de même, que l’altitude minimale qu’il est possible d’indiquer est 150 mètres. Les scénarios professionnels français déterminés par l’arrêté du 11 avril 2012, par exemple, indiquent que les vols en immersion ne doivent pas dépasser 50 mètres. L’alarme est matérialisée par des flashs à l’écran. Efficace !

Quelques regrets ?

menu07Il n’y a pas d’autres modèles de présentation des informations à l’écran. Si par exemple la vitesse ne vous intéresse pas, ou si vous auriez préféré obtenir l’indication de la montée ou de la descente de manière plus visible… oubliez. Vous êtes cantonné dans cette disposition des informations à l’écran. Dommage aussi que l’assiette, un horizon artificiel, ne figure pas non plus parmi les données affichées. Pas d’indication du nombre de satellites pris en compte, non plus. Le Callsign, c’est-à-dire l’indicatif, ne sert pas à grand-chose, sauf peut-être à montrer que le temps passe puisqu’il s’affiche toutes les minutes. Mais si cela ne vous sert à rien, autant le désactiver – c’est possible dans les réglages. Les réglages, toujours eux, proposent modifier les « marges », c’est-à-dire la position des informations par rapport aux bords de l’écran. Mais que cette valeur soit positionnée à « Norm », « Safe » ou « HD », les différences sont minimes. Et il faut dire que les indications sont vraiment proches des bords. Un peu trop même pour notre mini enregistreur de vidéos, qui coupe partiellement la ligne du haut et oublie carrément celle du bas. Passer l’ezOSD en PAL ou en NTSC ne change rien au problème… C’est la raison pour laquelle les illustrations de ce post reposent sur des photos et des vidéos d’un écran (le résultat est médiocre) plutôt que sur l’enregistrement direct de la vidéo.

Les petits plus

menu02Lorsque vous revenez vous posez, l’ezOSD produit un récapitulatif du vol avec la vitesse de pointe, la vitesse moyenne, la distance maximale atteinte, la distance parcourue, la hauteur maximale, la durée du vol, la consommation en mAh, et la position latitude et longitude. Sympa ! Un logiciel pour PC (pas pour Mac) permet de réaliser des mises à jour du firmware, et de régler quelques paramètres. « Quelques », puisque seules certaines valeurs peuvent être modifiées, comme les unités, les valeurs d’alarme… Une partie calibration permet d’affiner les mesures de capacité et voltage, mais il faut télécharger un firmware spécial, disposer d’un chargeur avec affichage des mAh, et se procurer un voltmètre. A réserver aux spécialistes. Notez que nous n’avons pas testé la fonction Tracking d’antenne : le module peut envoyer, via l’émetteur vidéo, la position GPS du multirotor, ce qui permet d’automatiser le pointage d’une antenne directionnelle, histoire de profiter d’une portée améliorée. Nous n’avons pas testé la mémorisation des positions GPS en temps réel sur smartphone : il nous fallait un câble pour cela. Nous ajouterons quelques mots sur cette fonction si le câble nous parvient à temps…

Faut-il l’acheter ?

Dsc_0002-600Si vous êtes équipé de matériel ImmersionRC et que vous adorez les accessoires efficaces qui se branchent de manière simple, sans être armé d’un fer à souder, oui, sans hésitation ! Le prix est un peu élevé – comptez 179 € -, mais il est justifié par cette simplicité d’emploi vraiment agréable. Si vous êtes bon bricoleur et que vous ne rechignez pas à passer des heures dans les réglages, alors l’ezOSD d’ImmersionRC manque de possibilités de réglages, et se révèle un peu cher. Autant vous tourner vers d’autres marques, comme Eagle Tree Systems.

Le ezOSD d’ImmersionRC est disponible auprès de StudioSport.fr, ici.

La vidéo

Des photos supplémentaires

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30 commentaires sur “ImmersionRC ezOSD, le test

  1. Sympa comme OSD mais c’est trop lourd pour du nanoquad FPV…
    Il est possible d’avoir un petit systeme OSD + GPS pour 2.2g(OSD)+1.2g(GPS)+2g (fisl

    Sinon c’était quoi ta camera et ton VTX pour la video ? de l’immersionRC aussi pour le VTX ?

  2. Yes, c’est un peu lourd – mais je monte quand même à 60 km/h avec mon Pocket Rocket et ça sur le dos, ça reste correct… C’est fait pour du gabarit Phantom / Blade 350QX /QR X350 / TBS…
    Il y a plus petit et léger, of course, mais tu connais mon souci : avoir une solution la plus easy possible… 😉

    La caméra, c’est une 700TVL. L’émetteur est un 600mW 25mW d’ImmersionRC…

  3. La camera est super pricise … (au passage je testerai bien la 700TVL annoncée chez BG dans les 30 UD). Hummmm Hummmm pour le 25mW 🙂

  4. Bonjour ^^

    C’est bon sa ! un teste matériel 🙂

    Mais effectivement y a moins chère chez la concurrence …
    Je pense au : Skylark Tiny OSD III à environ 80€ ou encore au très connus : Remzibi OSD à environ 44€ 😉

    Sont plug en play aussi il me semble .

    Merci pour se teste d’ OSD 🙂

    Bien amicalement

  5. j’oublié 🙂 FRED on se mes au low-reading ? sa pas l’airs facile mais ca doit être amusant ! quelque chaleurs avec les branches ! lol

    par contre vous n’êtes pas à « bagatelle » :-p le bois est sympa aussi pour les balades en famille 😉

  6. Lourd en effet, et pour l’avoir testé sur mon Blade 350QX la surcharge est telle qu’avec une Lipo 2700mAh et une gopro h3 on tombe en-dessous des 5min de « vol »…enfin si on peut parler de vol vu la lenteur de la bête et la réactivité d’une limace (le Blade étant proche de sa charge max) !

  7. Petit point d’attention au passage: les prises Boscam ressmblent à s’y meprendre aux prises ImmersionRC sur l’emetteur: même taille, même détrompeur, bref completement compatible, a un detail pret… La polarité est inversée entre les prises Boscam et ImmersionRC, attention donc à bien vérifier le sens de la polarité avant de brancher si vous mixez les marques…
    Ne me demandez pas comment je sais ça 😉

  8. 179 €!!! c’est quand méme un peu « chéros » ,cela ferait plus cher que ma machine!!..Je me suis commander un G-OSD 3 a 28€ qui fait presque aussi bien!!!
    enfin l’essentiel!…

  9. Si l’on vole avec du NAZA-M, on utilisera avantageusement le OSDmini qui se base sur les données réellement utilisées par le multi-rotor et non sur des données « externes ».

    De plus, au tiers du prix et forcément nettement plus léger puisque l’on n’embarque pas des modules supplémentaires qui font double emploi.

  10. Un tarif digne d’ImmersionRC, comme d’hab, rien de nouveau. Et ils ne sont toujours pas capable de caler un RTH dans leur bidule….

  11. Oui mais pour moi l’OSDmini de DJi a pour principale limite de ne pas donner d’info précise sur la consommation de la lipo… Il n’y a que le voltage d’indiquer ce qui, lorsque l’on vole avec des batteries différentes et des configuration différentes (avec ou sans nacelle par exemple) s’avère approximatif.

    Dommage… mais je le garde quand même pour le moment car ca fonctionne bien par ailleurs.

  12. Frsky et sa telemetrie c’est parfait pour avoir la conso et l’etat lipo (cellule par cellule meme) 🙂
     
    Cela dit le probleme s’inverse, car dans ce cas il faudrait pouvoir utiliser les infos du GPS Naza pour les renvoyer en telemetrie FrSky egalement (il y a des projets open source qui visent à faire ca mais bon, bref…)

  13. – « OSDmini de DJi a pour principale limite de ne pas donner d’info précise sur la consommation de la lipo… »

    La tension et le courant sont intimement liés, c’est moins important qu’il n’y parait à premier abord.

    – « lorsque l’on vole avec des batteries différentes »

    ?? une batterie vieilli de toute façon, la tension et la rapidité de sa chute indique cela parfaitement.

    Par contre, il me semble que dans l’article :
    – « le circuit de ImmersionRC détecte automatiquement le nombre de cellules de votre batterie et vous prévient quand l’une d’entre elles est sous les 3,2 V. »

    n’est pas correct.

    Le nombre de cellule… ben oui, la tension permet de le savoir !
    Mais la tension des cellules ? Pour autant que je sache, la fiche « balancer » n’est pas branchée sur le bidule et ne peut donc pas être vérifiée.

    Encore une fois, je prétend qu’il est beaucoup plus utile de connaitre les données (nombre de satellites, position, etc. ) sur laquelle se base mon engin que les valeurs d’une extension indépendante et éventuellement totalement différentes.

    Alors reste le NAZA-M Light… mais vu le pris, il est alors nettement mieux de s’acheter un V2 et garder le Light pour faire mumuse.

    Évidemment, hors du « monde » DJI, cela à sa raison d’être.

  14. J’aime bien tout le monde fait ça pub ici 🙂

    Franchement très cher, et pas top, puis lourd. 😉

  15. ouai m’enfin selon le poids du drone la tension de la batterie n’est pas la même (à niveau de décharge comparable). et puis regarde les lipos du walkera 350pro… la tension chute assez vite et se maintiens ensuite assez bien a un niveau qui, pour d’autres batteries, inciterai à ne pas trop trainer.
    En fin de compte le temps de vol s’avère plus pratique comme repère.

  16. on sent que vous vous faites plaisir avec ce matériel, en plus, la musique rythme bien avec votre vol sans embûche.
    bonne continuation

  17. Ce qui compte c’est que ça soit du matériel fiable. Ca justifie sans doute le prix.
    En tout cas Sponsoring by Studiosport ou Banggood, c’est tout les jours un plaisir de lire tes articles réguliers. Merci.

  18. vous videz vos batteries jusqu’a 3,2 V? Je croyais qu’il ne fallait pas passer en dessous de 3,6…

  19. Ce n’est pas moi qui l’affirme, c’est la doc : « 1. Low Battery Defaults to ‘Auto’ mode, which assumes a LiPo flight pack. In this mode the number of cells is automatically detected. The alarm will sound when the battery voltage drops down below 3.2v/cell ».
    Dans la pratique, il n’affiche pas les cellules détectées (ou pas détectées :)). Mais en revanche, il m’a averti à 3,2V, et la valeur était confirmée par le testeur que j’embarque en plus (sur la prise d’équilibrage). Mais est-ce que c’est une valeur estimée plutôt que mesurée ? Je ne sais pas répondre…

  20. – « Ce n’est pas moi qui l’affirme… »

    Oh, ce n’est pas ce que j’ai… affirmé 😉

    – « Mais en revanche, il m’a averti à 3,2V… »

    Oui, mais j’ai regardé le câblage et ne vois que la connexion vers le + et – de la batterie.
    Ces 3.2 ne sont alors que la valeur moyenne calculée. Donc, si le module n’a pas l’information sur la prise d’équilibrage (balancer), c’est alors une information dangereuse et trompeuse.
    La valeur moyenne peut sembler correcte, mais la Lipo est bonne pour la poubelle.

    Car c’est bien la différence entre les cellules qui est importante. La meilleure manière de surveiller cela, est de mesurer cela avant ET après le vol. En cas d’écart, il vaut mieux la garder pour la voiture ou le bateau… et d’acheter de meilleurs accus 😉

  21. Je possède cet OSD depuis pas mal de temps et j’en suis très content, on doit être à peu près à 200 grammes pour l’osd + émetteur IRC + lipo. Effectivement il affiche la tension consommée en Mah, et la tension globale.

    Le matériel était monté sur mon défunt bixler, je vais le monter prochainement sur ma Phantom FX61…
    Au passage si quelqu’un peut m’expliquer le câblage pour brancher une caméra 12v sur le matériel IRC, merci…

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