Isaw Extreme, le test

Dsc_0067-500La course pour égaler ou dépasser la caméra sportive Gopro est sans fin, faute de challenger à la hauteur ! Vous aviez sans doute découvert les deux caméras Isaw sur Helicomicro, la A1 et la A2. La nouvelle venue dans la gamme s’appelle la Isaw Extreme, parfois indiquée comme Isaw A3 Extreme. Est-elle bien placée dans cette course à la Gopro ? Oui, jugez plutôt… Dans cette chronique, les caractéristiques des Gopro seront mentionnées à de nombreuses reprises, forcément !

Tout intégré

La Isaw Extreme est un bloc assez imposant, qui mesure 6,1 cm de largeur, 4,8 de hauteur, et 3,2 de profondeur, pour un poids de 111,1 grammes. A titre de comparaison, la Gopro 2 mesure 5,9 x 4,2 x 3,5 cm pour 99,7 grammes, et la Gopro 3 Silver 5,7 x 4 x 2 cm pour 76 grammes. Les connaisseurs s’en étonneront : la Isaw Extreme est lourde par rapport à ses concurrentes. Il y a évidemment une raison à cela. Dsc_0070-500A l’arrière de l’appareil se trouve un écran LCD grand format ! Les Gopro (1, 2 et tous les modèles de 3), par exemple, en sont dépourvues, à moins de rajouter l’accessoire LCD Touch BacPac (comptez 30 grammes de plus, 70 € à ajouter, et l’assurance d’une autonomie réduite). Notez que le BacPac de Gopro est tactile, alors que l’écran de la Isaw ne l’est pas. Faisons le tour du propriétaire. L’objectif à l’avant est assez proéminent, décentré sur la façade à la manière de Gopro. A côté se trouvent deux boutons qui permettent de piloter la caméra, et un trou cachant un micro. Sur le flanc gauche, on trouve une fente destinée à accueillir des cartes MicroSD. Cette fente se trouve percée dans une trappe que l’on peut faire coulisser, révélant la batterie de la caméra, une Lithium-Ion de 1200 mAh. Dsc_0069-500Sur le flanc gauche figurent deux prises, l’une pour un connecteur vidéo de type Micro Hdmi, l’autre de type MiniUSB. Au sommet de la caméra se trouve le bouton principal, qui sert à allumer et éteindre la caméra, ainsi qu’à démarrer l’enregistrement d’une vidéo. Sous la caméra ? Rien à déclarer. Mais en façade arrière, comme nous l’avons vu, la Isaw Extreme propose un bel écran LCD couleur de 2 pouces (5,08 cm de diagonale). Un dernier détail : les coins haut gauche et bas droite sont occupés par de grosses diodes rouges, qui témoignent de l’activité de la caméra.

La beauté est intérieure

N’allez pas en déduire que la caméra est moche ! Loin de là, elle est même plutôt réussie avec sa coque noire et ses formes très carrées. D’ailleurs, l’absence de courbes facilite la fixation de la caméra… Mais le plus intéressant se trouve dans le boîtier. Le capteur photo utilisé par Isaw est un Exmor 12 mégapixels de Sony. Dsc_0089-500Supérieur, donc au capteur 11 mégapixels que l’on trouve dans toutes les Gopro, la 3 Black exceptée.  De quoi est capable la caméra ? Elle permet de filmer dans des résolutions de 1920×1080 pixels en 60 ou 30 images par seconde (ou 50 et 25 en mode PAL), 1600×1200 pixels en 60 ou 30 images par seconde, 1280×720 pixels en 120, 60 ou 30 images par seconde, ou encore 640×480 pixels en 240 images par seconde. Côté photo, la Isaw Extreme shoote en 4:3 dans une résolution de 4000×3000 pixels, en 3:2 dans une résolution de 3648×2432) et en 16:9 en  3648×1052. De quoi faire pâlir un appareil photo numérique compact. La similitude avec un compact ne s’arrête pas là : la caméra permet de zoomer en 2, 3 et 4x. Pas mal ! Attention, la méthode employée est numérique, pas optique. Nous verrons un peu plus loin ce que cela signifie. Ajoutez à tout cela l’enregistrement audio et un module Wifi intégré. Voilà pour les principales caractéristiques techniques. Place aux essais en vol !

Première vidéo

Avant d’allumer la caméra, il faut s’assurer que la batterie est bien chargée. Une charge complète prend environ 3 heures et 40 minutes, via le câble USB fourni branché sur un ordinateur ou un adaptateur secteur. La mise en marche est simple : il faut une pression longue (3 bonnes secondes) sur le bouton principal. Dsc_0075-500Les diodes et l’écran LCD s’allument : la caméra est prête à filmer. N’oubliez pas d’insérer une carte mémoire de type MicroSD, la caméra est dépourvue de mémoire interne. Bon point : le lecteur de cartes est compatible avec le format Micro SDXC, ce qui signifie que vous pouvez utiliser des cartes jusqu’à 64 Go. Appuyez sur le bouton principal : l’enregistrement commence. Besoin de cadrer l’image ? A la différence des Gopro (sans BacPac), vous pouvez utiliser l’écran LCD pour savoir ce que vous filmez, et recadrer si nécessaire. C’est bien pratique pour éviter de subir la présence des hélices ou du train d’atterrissage à l’écran ! Appuyez à nouveau sur le bouton principal pour stopper l’enregistrement. Pour regarder la vidéo, vous avez quatre possibilités. La première, c’est le consulter directement à l’écran de la Isaw Extreme, il suffit de quelques manipulations. La deuxième ? Si la petite taille de l’écran vous incommode, branchez simplement un câble Micro Hdmi-HDMI (câble non fourni) pour connecter la caméra à votre téléviseur ! La troisième consiste à brancher la caméra en USB (câble fourni) et à l’allumer : le contenu de la carte mémoire s’affiche, avec Windows et MacOS. La quatrième ? Sortez la carte mémoire de son logement et lisez-la directement sur votre ordinateur ! Dsc_0073-500Par défaut, la caméra filme en 1080p 60 images par seconde. Le résultat est très convaincant, avec un piqué digne de celui d’une Gopro 2 ou Gopro 3 Silver. La Isaw Extreme offre même plus de « matière », on le constate tout particulièrement dans les nuages. Ca, c’est vrai avec une bonne lumière – comprendre une forte lumière ou une faible lumière. Mais pas les deux en même temps : s’il existe des zones sombres et claires simultanément à l’image, la Isaw Extreme a tendance à tout assombrir. C’est le cas par temps couvert, comme vous pourrez le voir sur les vidéos d’exemple. Le réflexe consiste à chercher dans les outils de configuration comment améliorer l’image. Peine perdue, aucun réglage de la luminosité n’est proposé, pas plus que la balance des blancs ou la saturation. Dommage. Les prises de vues photo sont logées à la même enseigne…

Particularités

La possibilité d’enregistrer en 60 images par seconde, voire 120 ou même 240 permet de réaliser des ralentis très facilement. Résultat garanti pour réaliser de belles séquences même sans disposer d’une nacelle de stabilisation ! Dsc_0111-500Mais attention, la moindre vibration viendra perturber l’image. Puisqu’on en parle, la caméra est peu sujette au Jello, c’est-à-dire à ces vagues disgracieuses dues aux vibrations. Dans la mesure où elle n’offre aucune stabilisation de l’image, ni logicielle ni matérielle, c’est probablement parce qu’elle est suffisamment lourde. Ce qui n’est pas un mal : pour mémoire, les fonctions de la caméra AS15 de Sony se sont révélées catastrophiques pour corriger les vibrations d’appareils volants (alors qu’elles donnent satisfaction pour filmer un ride VTT ou ski). Revenons sur le zoom proposé par la caméra. Par défaut, il est de 1x (pas de zoom). Avec une petite manipulation simple, vous le passez en 2x. Intéressant, mais dans la mesure où il s’agit d’un zoom numérique, l’image perd en qualité. Plus vous zoomez, plus la perte de qualité est sensible. Avec un zoom de 2x, cette perte est acceptable. Mais elle devient désagréable en 3x. En 4x, l’image est trop dégradée pour être utilisable. Quel est l’angle couvert par la caméra, le fameux FOV ? Vous pouvez choisir parmi 3 angles différents. Le plus grand, Wide, s’ouvre sur 152°, et le plus petit, Narrow, sur 125°. En comparaison, la Gopro 2 ou la Gopro 3 Silver sont capables de proposer un FOV de 170° pour le plus large, 90° pour le plus serré. Est-ce qu’on a vraiment besoin d’aller jusqu’à 170° ? ISWP0049A part pour pratiquer un pilotage de précision en immersion, non. En revanche, le mode Narrow (125°) est très décevant, un peu comme le zoom : il produit une image pixellisée pas du tout agréable. L’interface de la caméra est assez simple à maîtriser, elle s’appuie sur les 3 boutons de la caméra et l’écran LCD. Une fois tous les menus parcourus, on parvient rapidement à retrouver une option et à la modifier. Que vaut la partie photo de la Isaw Extreme ? Fort pratique pour réaliser de superbes clichés pendant vos vols, le mode TimeLapse automatise les prises de vues à intervalles réguliers. Par exemple toutes les 3 secondes. Parfait pour aller shooter un beau paysage depuis les airs : sur les dizaines de clichés pris par la caméra, vous en trouverez forcément quelques-uns d’exceptionnels ! La qualité des images est très satisfaisante. Mais là encore, le résultat n’est bon que si l’éclairage est uniforme. Si une zone claire se trouve dans le champ, les zones sombres seront… très sombres !

Et le Wifi !

Dsc_0100-500Cette norme sans fil est présente dans toutes les caméras Gopro 3, elle a tout naturellement été ajoutée aussi dans la Isaw Extreme. Pour en profiter, il faut télécharger un petit logiciel gratuit pour iOS (iPhone et iPad), et Android, appelé Isawviewer. Nous avons uniquement réalisé nos tests sur la version iOS, sur iPhone 5. La caméra crée un réseau Wifi, qui apparait dans la liste de ceux auxquels vous pouvez vous connecter. Ce qu’il suffit de faire, puis de lancer l’app, qui accueille avec une icône « Connect ». Cliquez, et vous voilà relié à la caméra en quelques secondes : l’image filmée par la Isaw Extreme apparaît sur l’écran de votre appareil mobile. Parfait pour bien ajuster le cadrage ! D’un clic, vous pouvez déclencher l’enregistrement de la vidéo, à distance. Et l’arrêter. Une icône permet de passer en mode photos : vous déclenchez la prise d’une vue quand vous le désirez, depuis votre mobile. Sympa ! Mais le logiciel a ses limites. Tout d’abord, l’image est assez fluide (probablement 15 images par seconde)… tant qu’on se trouve juste à côté. Mais si on s’éloigne de la caméra (ou si, dans le cas du radiomodélisme, la caméra s’éloigne), les images deviennent très saccadées. Au point de ne plus s’afficher qu’une fois par seconde à 10 mètres. Dsc_0118-500Et même beaucoup moins s’il y a des obstacles. Au-delà de 30 mètres, nous avons perdu le signal. Pas question, donc, de voler en immersion avec la Isaw Extreme et un iPhone. Si vous lancez l’enregistrement, la fluidité en prend encore un coup. Au lieu des 15 images par secondes, vous n’en obtenez plus que 5. Mais le principal reproche que l’on peut adresser logiciel Isawviewer, c’est que les deux fonctions évoquées (démarrage et arrêt des vidéos, prise de photos) sont les seules. On attendait bien sûr la possibilité de modifier à distance la résolution, le nombre d’images par seconde, l’angle (FOV), etc. Mais non, rien de cela n’est possible. Peut-être dans une prochaine version du logiciel ? La connexion entre la caméra et le smartphone a en revanche fonctionné avec succès, sans plantages intempestifs comme nous en avons expérimenté avec les Gopro 3 et la AS15 de Sony. Un bon point !

Petits bonus

Le Wifi pour contrôler la prise de vues, c’est top. Mais utiliser cette technologie 2,4 GHz en simultané avec une radiocommande elle aussi en 2,4 GHz, c’est être potentiellement exposé à des interférences. Qu’à cela ne tienne, vous pouvez désactiver la fonction Wifi. Et vous gagnez en autonomie, de manière assez impressionnante. Car lors de nos tests, la caméra a fonctionné sans discontinuer pendant 46 minutes avec le Wifi opérationnel (mais sans liaison active avec un smartphone). Dsc_0093-500C’est un peu juste. Il a suffi de couper le Wifi pour que l’autonomie bondisse pour atteindre 1 heure et 15 minutes. Les LED de la caméra sont bien visibles, un peu trop même. Mais là encore, le logiciel interne de la caméra vous autorise à les désactiver. Idem pour le « Beep » qui ponctue chaque pression sur l’une des trois touches : vous pouvez le condamner au silence. Dommage plusieurs volumes sonores auraient été les bienvenus, en plus du on/off. Pour les étourdis, la caméra peut s’éteindre toute seule au bout de 3 minutes d’inactivité (ou bien jamais). L’écran LCD peut, lui-aussi, être programmé pour s’éteindre et économiser de la batterie. Nous n’avons pas fait le test, mais il est certain qu’un écran LCD couleur est très gourmand en énergie. Enfin, un mode « Aqua » permet de rehausser les tons rouges et adoucir les bleus pour filmer sous l’eau. Nous n’avons pas testé cette fonction, en l’absence de drone suffisamment submersible.

Quelques regrets ?

Oui, il y en a, outre la gestion du contraste évoquée plus tôt. Mais commençons par un point positif. La caméra est livrée avec un boîtier étanche (jusqu’à 60 mètres de profondeur). Parfait pour votre prochain week-end aux Bahamas (ou à Berck plage). Il est capable de protéger la caméra en cas de choc, à l’atterrissage ou pendant un crash. Mais le poids fait un bond : des 111,1 grammes de la caméra « nue », on passe à 191,7 grammes. Dans la boîte se trouve aussi un dos de boîtier ajouré. Dsc_0169-500L’étanchéité est perdue, mais il permet d’être certain de ne pas souffrir de buée à l’intérieur et de revenir avec des vidéos dans le brouillard complet. Le gain de poids est léger : l’ensemble pèse 184,8 grammes. Isaw fournit, en plus de ce boîtier étanche, un casier léger pour loger la caméra, un peu comme le support Gopro fourni avec les Phantom de DJI. L’objectif de la caméra n’est plus protégé, mais le poids tombe à 140,5 grammes. Parfait ? Non. Car pour positionner le boîtier étanche ou le casier léger sous un drone, il faut placer la caméra à l’envers. Malgré un parcours complet des menus et sous-menus, pas de trace d’une inversion de l’image à 180°. Dommage, il faut retourner la vidéo par la suite, une fois transférée sur un ordinateur. Ceci interdit purement et simplement les vols en immersion : pas question de piloter la tête à l’envers. A vrai dire, les vols en immersion ne sont de toute façon pas possibles : nous avons essayé d’obtenir une image en temps réel via la prise USB, avec les câbles qui avaient servi avec les caméras A1 et A2. Sans succès. Nous n’avons pas essayé avec la prise Hdmi, qui présente peu d’intérêt en modélisme. Un petit défaut pour terminer ? L’écran LCD est difficile à lire en plein soleil. Certaines mentions, comme la résolution pour la capacité mémoire restante sont presque impossibles à déchiffrer. Nous n’avons pas trouvé de réglage de l’intensité lumineuse de l’écran. La documentation est en français, mais pas l’interface de l’écran LCD… Rien de grave, elle privilégie les icônes aux textes.

Faut-il l’acheter ?

Dsc_0055-500La Isaw Extreme est une sérieuse concurrente de la Gopro 3 Silver, vendue à un prix équivalent – sachant qu’elle est équipée d’un écran LCD, facturé 70 € chez Gopro. Si vous n’avez pas l’intention de pratiquer les vols en immersion, que vous désirez simplement gérer vos cadrages à distance (petite distance) via un smartphone ou une tablette, elle constitue un excellent choix. Il faut tout de même être très attentif aux conditions d’éclairage, et éventuellement savoir éclaircir l’image avec un logiciel de post-production. Le prix ? La caméra vaut un peu moins de 350 €. Une note un peu moins salée que celle d’une Gopro 3 Silver accompagnée de son boîtier BacPac (environ 350 € + 70 €)… Dans la boîte sont fournis de nombreux accessoires : le boîtier étanche, le dos ajouré et le casier léger déjà évoqués, accompagnés de divers supports compatibles Gopro à base de d’adhésifs 3M, de rotules, un sac en nylon, un protège-objectif…

Les vidéos

Comparatif entre la caméra Isaw Extreme et la Gopro Hero 2, toutes deux à bord d’un X400 de Walkera. La place disponible ne permettait pas de retirer les hélices du champ de l’image.

http://youtu.be/LPKKWdPoNtg

 

Quelques vols en extérieur avec la caméra Isaw Extreme, dans la résolution maximale (1080p). Ils mettent en évidence l’excellent piqué de l’image, le bon respect des couleurs, mais des difficultés à gérer de fortes différences de lumière. Vols réalisé sur un Phantom de DJI sans stabilisation.
http://youtu.be/Zm52Ap02UvA

 

Les différents modes proposés par la caméra Isaw Extreme : les 3 angles de vision, puis les 4 zooms, et enfin le mode 240 images par seconde (en 640×480 pixels) pour réaliser des ralentis.
http://youtu.be/Q9uscLfEXcc

 

Une animation Timelapse réalisée avec la caméra Isaw Extreme, constituée d’un peu plus de 1000 photos prises à 5 secondes d’intervalle.

 

D’autres photos

Dsc_0046-500Dsc_0052-500Dsc_0071-500Dsc_0072-500Dsc_0077-500Dsc_0080-500Dsc_0177-500Dsc_0109-500Dsc_0110-500Dsc_0111-500Dsc_0101-500Dsc_0097-500Dsc_0098-500Dsc_0106-500Dsc_0094-500Dsc_0092-500Dsc_0091-500Dsc_0090-500ISWP0027ISWP0010

21 commentaires sur “Isaw Extreme, le test

  1. Tres bon test comme d’hab, attention une petite coquille sur la taille des cartes sd prise en charge ca doit etre 64 Go pas 64mo.

  2. salut. pour information.le ideafly apollo est dispo sur hgaga. des premiers retours? 😉

  3. J’ai vu ça, oui, via la newsletter… Pas de retours pour l’instant. L’engin est un peu cher pour que je le prenne pour l’instant 😎 Mais les caractéristiques font envie !

  4. Bonjour, j’aurai voulu savoir si elle était proposée avec une télécommande et si non si une télécommande compatible existe ?
    Merci à vous.

  5. Non, pas de télécommande fournie, le pack contient ce qui est sur la photo de groupe (à la fin de la chronique).
    Je pose la question au distributeur de iSaw pour savoir si une télécommande existe par ailleurs…

  6. J’ai eu la réponse de la part du distributeur : une télécommande est bel et bien prévue ! Il me passera plus de détails dès que possible… 🙂

  7. bonjour j’aurais voulu savoir si il exister un programe comme gopro pour stabiliser l’image et le son.
    et si oui ou je peut le telecharger et comment l’installer sur ma I-saw merci 🙂

  8. Sur ta Isaw, tu ne pourras pas faire grand-chose, elle n’est à ma connaissance pas prévue pour accueillir des logiciels intégrés.
    TU peux éventuellement retravailler l’image après-coup, avec un logiciel comme Mercalli Easy (http://www.mercallieasy.com/home,l-fr.xhtml). Je crois qu’il y a une version de démo pour l’essayer, et qu’il coûte dans les 20 € si tu veux l’acheter…

  9. Au final, je dirais la Gopro, pour deux raisons. Elle est compatible avec la quasi-totalité des nacelles stabilisée, elle permet de sortir le signal vidéo pour des vols en immersion.

  10. Je viens d’acheter la iSaw EXtreme, le prix n’était pas 350€… Mais 240€
    Alors entre acheter la iSaw (240€ Ecran LCD compris) et une GoPro Hero 3 Silver Edition (350€ Sans ecran LCD)… Je vous laisse faire le calcul, mais bon. Pour vous, le si peu de difference entre la GoPro et la iSaw vaut-il vraiment 180€ ?

  11. La différence en qualité est minime… Mais c’est quand on veut la sortie en temps réel pour les vols en immersion que la Gopro se justifie… Tout dépend, donc, des besoins !

  12. bonjour,
    Merci pour ton analyse très compléte.
    Peux tu me préciser ce que tu entends par « vols en immersion » concrétement?
    Merci d’avance

  13. Les vols en immersion utilisent la caméra pour envoyer l’image au sol en temps réel, via un émetteur vidéo. C’est ce qui permet de piloter avec des lunettes LCD en profitant de l’image comme si on était assis dans le drone. Les émetteurs vidéo du moment requièrent un signal analogique. Ils ne sont pas compatibles avec une sortie numérique de type HDMI.

  14. Bonjour,
    Je suis en possession d’1 ISAW EXTREME dépourvue de tout mode d’emploi!
    Ou trouve t-on le code pour valider le passage sur wifi?
    Merci!

  15. Bonjour,
    Toujours très content de ma ISAW EXTREME, je rencontre néanmoins un problème:
    quelques soit le réglage, la durée d’enregistrement de la caméra commandée par l’iPhone n’arrive à excéder 10 secondes…
    Pourquoi?
    Merci de la réponse.

  16. bonjour Fred ton site est vraiment bien! j’ai un problème avec ma camera isaw extrême au niveau du wifi. j’ai un iphone 4 et j’ai télécharger l’isawviewer version3.0.7 mais il me dise que la camera n’est pas compatible avec cette version et qu’il me faut la version 2.0.4 aurait tu une solution a se problème merci d’avance

  17. Bonsoir,
    J aimerais savoir ou me procure le boitier étanche de ma ISWA EXTREME KCC-CMS-AM7-EXTREME.

    Merci pour l info.

  18. bonjour est ce que quelqu’un connait un site ou je pourrais acheter un nouveau caisson de plongée pour mon Isaw extreme ?
    merci

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

×