Interview par DJI : le projet participatif en drones de Yann Arthus-Bertrand

Avec « La terre vue du ciel », Yann Arthus-Bertrand avait popularisé la découverte de la planète avec de superbes vues aériennes. Le président de la fondation Good Planet a adopté les drones dans ses travaux, à tel point qu’ils ont modifié sa manière de travailler – et de voyager ! Yann Arthus-Bertrand fait aussi partie du jury du concours Skypixel 2021 (voir ici).

Pour en savoir plus ?

Dans une interview conduite par Olivier Mondon, Responsable Communication Europe chez DJI, on apprend qu’il envisage une suite à « La terre vue du ciel » sous forme de projet participatif avec des pilotes un peu partout sur la planète. Il y parle aussi des racers en FPV, du Mavic 3, et des drones qui volent au-dessus de chez lui ! Cette interview est à lire en intégralité ici !

Note : l’interview rapporte la mansuétude avec laquelle Yann Arthus-Bertrand accueille les drones (de loisir) qui survolent parfois sa propriété située sur l’ile de Port-Cros. Il ne faut pas oublier que l’ile est située dans le parc national de Port-Cros, dont le coeur est interdit de survol comme presque tous les autres parcs nationaux (voir ici). De plus, l’endroit est également interdit de vol par les zones militaires R 64 A1 Toulon, D 54 A1 Toulon, R 64 C Toulon, et par la zone P 63. Bref : aucun drone de loisir ne devrait voler à cet endroit… Merci à Cestpasbien pour la piqûre de rappel.

7 commentaires sur “Interview par DJI : le projet participatif en drones de Yann Arthus-Bertrand

  1. Si tout le monde réagissais comme lui au survol de sa maison, le monde irais mieux. Good planet!

  2. Le problème avec un drone, c’est qu’on ne peut pas l’utiliser pour aller acheter des huitres en bretagne le matin et revenir à Paris pour les manger à midi……

  3. « J’ai la chance d’avoir une maison sur l’île de Port Cros (…) et, souvent, je vois des drones qui décollent de bateaux qui sont dans la baie et qui nous survolent. Je dois reconnaître qu’il y a des jours où cela m’insupporte car ils volent très bas mais que puis-je dire moi qu’il l’ait tellement fait ! »

    Bah… profiter de cette interview pour dire que c’est un Parc National naturel et que le survol des aéronefs et donc des drones y est interdit 😀

  4. @ Cestpasbien : Oui, bien vu, je n’ai pas eu la curiosité de regarder sur une carte, et c’est effectivement un parc national, une 2 ou 3 zones interdits de vol selon l’endroit. Je vais le rajouter en note 🙂

  5. La honte, réduire le maître Georg Gerster son aîné de 18 ans à un photographe de compagnie aérienne quelle prétention, quel égocentrisme. La force de YAB (plouc en créole) c’est son sens du commerce. S’il s’était contenté d’être l’agent d’autres photographes la discipline aurait été encore bien mieux représentée aujourd’hui et peut-être l’usage civil des drones mieux perçu, compris et traité.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Georg_Gerster
    https://www.georggerster.com/

  6. @ Romu : Tu es un peu dur, je trouve. Certes les images de Georg Gerster sont superbes, pionnières, utilisées pour différents clients, mais il est surtout connu pour ses images Swissair. Et YAB a démocratisé le genre, Georg Gerster est peu visible du grand public.
    C’est un peu comme dire que Atget est LE photographe de Paris, et que les successeurs comme Doisneau ou Ronis n’ont été que des commerciaux…

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