Le grand public est habitué aux images filmées avec des appareils ultra stabilisés, que ce soient ceux de DJI ou des appareils haut de gamme avec des caméras spécialisées. Le résultat ? Lorsque le grand public est confronté à des images shootées en racer, il faut qu’elles soient de courte durée.
La stabilisation ?
Le logiciel ReelSteady de GoPro permet de rendre les séquences plus souples et profite d’une option appelée « Horizon Lock ». Son but est de faire en sorte que l’image soit toujours à plat. Même en cas de virage serré, l’image ne s’incline pas sur le roll. De quoi déstabiliser (!) les pilotes de racers qui sont habitués à l’inclinaison dans les virages, indispensable d’ailleurs pour piloter de manière agressive. Mais ces images à plat, plus faciles à visualiser, sont parfaites pour satisfaire le grand public ! Quel intérêt d’utiliser un racer si la finalité, ce sont des images à plat ? Les racers sont imbattables lorsqu’il s’agit de pratiquer des vols engagés, rapides et nerveux, avec par exemple des plongées, des suivis de reliefs. Bref, tout qu’un appareil avec une assistance au pilotage ne peut pas faire.
Les essais de Nurk FPV
L’une des raisons ?
Les pistes à suivre ?
L’outil ReelSteady est un incontournable. La nacelle Quark Stabilizer 2 n’est pas très connue, mais elle pourrait le devenir si elle permet de faciliter les prises de vues en racer destinées au grand public et prévues pour s’insérer plus facilement dans des productions avec des caméras plus conventionnelles. Sans pour autant dégainer des appareils beaucoup plus gros pour porter des caméras haut de gamme avec des outils plus performants comme Steady XP+, ou être obligé de choisir des appareils avec une nacelle 3 axes mécanique beaucoup plus patauds et cantonnés au format Cinewhoop.
il la stabilisation Gopro avec l’objectif Max dans tout ça ???
@ ROGER : A voir les photos de la GoPro, non…