C’est une société qu’il va falloir suivre de près, il se peut qu’elle propose des outils indispensables pour les nouveaux usages des multirotors. Skydio est née à l’initiative d’anciens du prestigieux MIT, Adam Bry, Abe Bachrach et Matt Donahoe. Leurs recherches les ont menés à travailler sur des solutions de vols automatisés en l’absence de GPS, avec l’aide de capteurs et d’algorithmes. Ce sont eux qui ont été à l’origine du développement du logiciel intégré dans le project Google Wing…
Pérenne !
Skydio a réussi une levée de fonds à hauteur de 3 millions de dollars, apportés par des investisseurs. Les travaux de Skydio sont concentrés sur les moyens de détection et d’évitement d’obstacles. Les fondateurs de la société sont certains que leur technologie va devenir indispensable : « Les produits actuels sont aveugles par rapport au monde qui les entoure. Pourtant les drones doivent évoluer près de structures, ils doivent donc être sous la surveillance constante d’opérateurs humains. Les flyaways et les crashs ne sont pas rares. Ces problèmes doivent être résolus pour que l’industrie puisse progresser ». Comment ? « Presque toute l’information dont a besoin un drone pour faire son boulot se trouve dans les données vidéo. Le challenge consiste à extraire cette information et à la rendre utile pour la tâche en cours. Ce challenge, et toutes les possibilités qu’il va offrir, c’est notre cœur de métier ».
Eviter les obstacles
Le but de Skydio est de limiter les outils de détection d’obstacles à une caméra pour se passer de coûteux capteurs infrarouge, laser, sonores, etc. Adam Bry, au CES 2015 de Las Vegas, a affirmé qu’il voulait proposer une solution normalement vendue $50 000 à $50. Rien que ça. « Nous pensons que la vision va l’emporter sur le reste. C’est une source incroyablement riche d’informations, mais elle est un véritable casse-tête d’algorithmique. Mais les ordinateurs sont de plus en plus rapides, et ces algorithmes deviennent viables ». Les premières démonstrations, faites à l’occasion du CES 2015, semblent prometteuses. Selon les visiteurs, le multirotor développé par Skydio était capable de maintenir un stationnaire parfait sans l’aide de GPS, en intérieur comme en extérieur, simplement en étudiant son décor.
Pour quand ?
Les responsables de Skydio semblent avoir conservé les pieds sur terre malgré leur belle levée de fonds. « Il nous faut encore maîtriser les conditions d’éclairage médiocres, pour que nous soyons capables de faire mieux qu’un humain. Les premiers systèmes que nous allons produire ne seront pas parfaits, mais nous serons en avance sur tous les autres systèmes ». Ils n’avancent pas de dates pour une commercialisation de leur système de détection et d’évitement des obstacles. Quel sera le premier appareil « Follow me » à en profiter ? En attendant, l’équipe a développé une application qui permet de piloter un multirotor depuis un smartphone ou une tablette en pointant l’appareil en l’air, un peu comme un chef d’orchestre…
Sur le principe on peut dire que Parrot a quelques années d’avance dans le domaine !
hummm … Parot ne se base que sur un capteur ultrason , là on parle de caméras qui interpretent leur environment. C’est totalement différent ( bien sur ce n’est que mon avis ).
Ca s’appelle du VSLAM pour Visual Simulteneously Localization And Mapping. Pour résumer, c’est un problème en controle/vision assez dur dans la mesure ou pour bien se localiser, il faut avoir une bonne cartographie, mais pour avoir une bonne cartographie, il faut que la localisation soit précise.. Bref un “egg-chicken” problème. Depuis 3-4 ans, il commence à avoir des algos relativement correcte pour cette tâche…
Parrot se base sur une caméra placée sous l’appareil pour mesurer les vitesses de déplacement sur les axes X et Y.
Le capteur à ultrason sert pour l’axe Z quand l’appareil est proche du sol ( < 1 m), sinon c'est un capteur barométrique qui est utilisé !
Parrot fait du flux optique pour éviter le drift, mais ça n’a pas grand chose à voir avec du traitement d’image temps réel. (SLAM, optimisation des amers, optimisation des trajectoires, planification…)
On en est loin, mais le chemin restant est plus proche que ce qu’il était, c’est évident.
Bien vu Flo’.
Parrot j’aime bien!!!!!
Bientôt 11 heures de vol avec le bebop.
On continue les vols, mais il fait froid. 20 minutes maximum par cession. Après c’est trop dur de rester dehors.
N’empêche qu’ils ont quelques années d’expérience, là où d’autres utilisent GPS, baro et ultrasons…
Viens faire des fights avec ton X4, en D02 🙂
Mais où? Oû est le plaisir de piloter, si on ne peut plus se gauffrer à grande vitesse dans un arbre, ni exploser des tonnes d’hélices? 🙂
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Ca s’appelle du VSLAM pour Visual Simulteneously Localization And Mapping. Pour résumer, c’est un problème en controle/vision assez dur dans la mesure ou pour bien se localiser, il faut avoir une bonne cartographie, mais pour avoir une bonne cartographie, il faut que la localisation soit précise.. Bref un “egg-chicken” problème. Depuis 3-4 ans, il commence à avoir des algos relativement correcte pour cette tâche…
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Bien vu Flo’.
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N’empêche qu’ils ont quelques années d’expérience, là où d’autres utilisent GPS, baro et ultrasons…
Viens faire des fights avec ton X4, en D02 🙂
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🙂 🙂 🙂 🙂