Airdog et le cycliste

airdog-cycliste-01Le projet Kickstarter AirDog, vous connaissez bien maintenant, il fait partie des tentatives pour réaliser des drones « Follow me », capables de suivre un sportif pendant l’effort sans intervention manuelle. Les concepteurs ont voulu montrer l’état d’avancement du projet avec une vidéo qui met en scène Agris Kipurs, le cofondateur de Helico Aerospace Industries (créateur de AirDog), sur les pentes de Palo Alto en Californie où la société s’est installée – rappelons que les concepteurs sont originaires de Lettonie. Les images sont assez réussies, même si le cadrage est parfois bizarre et que des vibrations apparaissent de temps en temps. Le cycliste, selon AirDog, a atteint 59 km/h ! De quoi vous décider à financer le projet ? Pour mémoire, AirDog a noué un partenariat avec 3D Robotics pour accélérer le développement du produit…

13 commentaires sur “Airdog et le cycliste

  1. Pas mal, mais, je pense qu’il leur faut encore un peu de taf, car le cadrage laisse à désirer… mais l’idée est très bonne, et je pense que nos gamins quand ils auront nos ages, auront du matos hallucinants…

  2. parce que tu crois que je vais pas en profiter ausssi ? Papa i va tester d’abord et après tu pourras essayer hein … faut etre sur que ça marche mon fils !

  3. OUAI 🙁
    Je suis, quant à moi, pas si sûr que tout cela est bien réel à 100% …
    Le cadrage change au cour du trajet, une fois de derrière, une fois de devant etc c’est le soft qui choisi son angle de vue ?? Comment ferait-il pour « précéder » une trajectoire etc… Toujours se méfier de pub tapageuse et destinée à rentre du fric.

  4. Pour un truc sans pilote, ca vole quand même drolement haut et loin de sa cible. Vivement qu’on ai des videos de 2 ou plus airdogs en train de suivre chaqun sa cible, que de beaux crashs en perspective 🙂

  5. Bien sympa ! par contre faudra bien surveiller sa montre, parceque c’est pas en arrivant que l’on va se dire merde il me semble que j’ai oublié quelque chose lol

  6. Honnêtement, rien de (très) compliqué à ça, pas plus qu’une flèche qui t’indique où se trouve la base de départ dans un OSD avec GPS.
    Le boitier (au bras du cycliste) envoie sa position au quadri, et le quadri connait aussi sa position dans l’espace. Donc il sait très bien dans quelle direction il doit pointer pour voir le cycliste.
    Je rajoute même qu’il connait son altitude, et l’altitude du cycliste, donc avec une nacelle motorisée et bien calibrée, aucun problème pour viser un point précis.
    Il sait à tout moment, que l’objectif se situe à telles coordonnées, à telle altitude…
    Le NAZA (et d’autres FC) sait parfaitement revenir à son point de départ, c’est déjà devenu banal. Ici, on ajoute simplement une notion : le point dé départ change constamment de position 😀

  7. Pour le fait de « précéder » une trajectoire, on pourrait facilement imaginer qu’il a une cartographie embarquée, et qu’il peut donc facilement prévoir par où va passer le cycliste. Mais même sans ça, ou même si le cycliste n’emprunte pas la route qu’il a prévu, rien ne l’empêche de prendre de l’avance, et de corriger sa trajectoire s’il détecte que la cible s’éloigne dans une direction précise (axes X/Y). Il connait à tout moment la distance de la cible, sûrement à 1 mètre près. Facile pour lui…

  8. D’accord sur tout cela, mais la programmation de OUF qu’il va falloir se palucher avant de voler et capturer une vidéo exploitable 🙁

    Par contre je n’en doute pas le progrès va dans le bon sens et nous réserve encore bien des choses et que certains travaillent le sujet ne peut que nous réserver des surprises pour le futur 🙂

  9. Si j’ai bien compris la doc 3D robotics, sur les APM 2.6, tu as encore la main sur le YAW , d’ou ces tournicotis tournicotons du cadreur :=)

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